
Non loin de là il y avait la modeste demeure de Dah Ould Madiguéne, un brave homme chez qui j’ai pris souvent du thé en compagnie d’un autre ami d’enfance Moloud Ould Dah qui a rejoint la cour des comptes.
A quelques centaines de mètres d’El Marrakchi vivait, presque en marge de la société, une dame répondant au nom de Bassine et à laquelle la population prêtait des pouvoirs surnaturels.
Il y avait enfin les commerces modestes, ceux d’Ahmedal Ould Babeddina, de Baba Ould Cheikh, de Kheiratt et les petites échoppes tenues par mes défunts cousins : Mohamed Abdel Hay ould Nih (Nahay), Mohamed Lemine O. Béchar, Ammi ould Moutali, Continuer la lecture





Les Avocats de l’ancien Président de la République dans la procédure ci-dessus indiquée ont, dans diverses sorties, médiatiques :
Une commission d’enquête parlementaire fait la lumière sur l’attribution de plusieurs marchés suspects et sur la gestion d’établissements publics. Pour la première fois, la société civile mauritanienne entend faire valoir ses droits dans une affaire de biens mal acquis.
Après une espèce de pause estivale, les limiers de la police économique ont visiblement accéléré la cadence des auditions ; ils pourraient boucler rapidement leur enquête.
Dimanche 27 septembre une fois encore, la police des crimes économiques et financiers a convoqué l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz pour l’entendre. Sauf que cette fois, elle souhaitait l’entendre pour confirmer ou infirmer ce que les coaccusés avaient déclaré en son absence.
Le face à face Ould Abdel Aziz – ministres de son régime, a bien eu lieu ! C’était dimanche et lundi matin dans les locaux de la police chargée des crimes économiques et financiers. Convoqué samedi, l’ex-président ne sera au rendez-vous qu’en milieu de journée de dimanche.