Mauritanie : vers la Mauritanisation de certains emplois

Face au chômage des jeunes, le gouvernement mauritanien se tourne vers la Mauritanisation des secteurs productifs, des Bâtiments et Travaux publics et des services. Cette politique d’ouverture à l’accès aux opportunités de certains emplois est considérée comme un couteau à double tranchant pour les travailleurs étrangers. Continuer la lecture

Le président Ghazouani : « nous soutenons la résilience de nos concitoyens face au changement climatique »

Le président mauritanien, Mohamed O. Cheikh El Ghazouani, a déclaré lundi que son pays déploie d’importants efforts pour appuyer le pouvoir d’achat de ses citoyens afin de pouvoir faire face aux impacts négatifs du changement climatique en luttant contre la pauvreté, la précarité, en modernisant le secteur rural et l’amélioration de l’accès aux services de base. Continuer la lecture

Projet PARIIS Mauritanie : Message de Diko Hanoune à la Banque mondiale et réponse de l’Institution

Le 27 février 2021, Diko Hanoune, Secrétaire général de l’Association des Haratine de Mauritanie en Europe (A.H.M.E.), adressait un message à la Banque mondiale sur les conséquences environnementales, sociales et humaines du projet PARIIS Mauritanie financé par la Banque mondiale.  Continuer la lecture

Concilier les antinomies entre les droits de l’homme et le Droit musulman dans le système juridique mauritanien. Par Abdel Kader Ould Mohamed, Juriste, Ancien Ministre

Au fil  de l’examen   du rapport de la Mauritanie par le comité des droits l’homme lors de sa réunion tenue le 5 juillet 2019 à Genève,  un expert  remarqua, en guise d’observation,   » que la charia islamique est l’unique source du droit mauritanien : or, a-t-il fait observer, il existe des antinomies entre la charia et le système international de protection des droits de l’homme, notamment en matière de liberté de conscience et de religion; en outre, le fait de dire que la charia est l’unique source de droit revient à nier le système international  » Continuer la lecture

L’armée serait-elle un obstacle devant l’ancrage de l’état de droit ? (1ère partie )

Capitaine à la retraite Mohamed Ould Yahya Ould Abdi

Durant notre adolescence, nous avions vu en l’Armée Nationale , (c’était alors une petite institution entourée d’un séduisant mystère ), un refuge pour échapper à la stratification odieuse de la société traditionnelle et
le dévouement surfait au parti unique, qui prévalait à l’époque. C’est pourquoi, lorsque des émissaires du commandement de l’Armée sont venus au Lycée National , nous lire un appel au volontariat pour défendre la patrie, la majorité des présents n’a pas hésité ! Continuer la lecture

Démocratie…..quelle démocratie ?

Démocratie.....quelle démocratie ?Serions-nous capables de démentir un jour l’administrateur colonial français, Gabriel Féral qui a exercé à Kiffa au début des années « 40 », quand il a dit dans le » Tambour des Sables » que: « le seul régime qui sied aux Maures, c’est l’anarchie »?

Il est évident que la Mauritanie, à l’instar des autres pays d’Afrique, peut se tracer une autre voie, loin de l’anarchie, proche des principes de l’Islam, en s’inspirant d’autres modèles de développement, tout en sachant que l’exercice de la démocratie occidentale libérale ne serait d’un cache-misère, et pour elle et pour le reste de l’Afrique. Continuer la lecture

L’institution de l’opposition exige un dialogue satisfaisant les dockers

L'institution de l'opposition exige un dialogue satisfaisant les dockersL’institution de l’opposition démocratique a exigé l’ouverture d’un « dialogue social sérieux » qui satisfait les revendications des dockers protestataires.

Elle a appelé également à la mise en place d’un « mécanisme durable chargé de parrainer la mise en œuvre des points sur lesquels les deux parties s’accordent ».
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Ils veulent décapiter le mouvement des masses laborieuses pour maintenir la domination

Ils ne savent pas que les mentalités changent que l’aspiration à la juste est naturelle et que sa réalisation revêt un caractère providentiel.

Les dernières visites de proximité du président Biram Ould Dah Ould Abeid où l’engouement était sans précédent ont montré que cette niaiserie ne passe pas auprès des opprimés.

Il est clair que nos dirigeants ont un manque de vision qui se répercute sur leur prise de décision, bref, ils sont égarés et l’avenir du pays est engagé.

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