
Autrefois et de siècle en siècle, le choix d’un chef était simple et naturel en procédure, et celui-ci n’avait d’emprise sur les âmes et les événements qu’en délibérant. C’était une personnalité, devenue consensuelle par ce choix et cette ambiance, méditatif et apte à discerner les perspectives : il les incarnait. La Mauritanie fut longtemps gouvernée ainsi, profondément par elle-même, en chacune de ses collectivités. Les Français, la pacifiant et l’unifiant, le comprirent dès Coppolani. La plupart des administrateurs qui l’aimèrent, y vécurent, la servirent, le comprirent aussi. Continuer la lecture


Vous avez décidé d’apporter votre soutien au candidat de la majorité Ghazwani alors même que vous ne portiez pas dans votre cœur le pouvoir en place dont il demeure l’un des principaux artisans Peut-on savoir pourquoi ?
Le président Mohamed ould Abdel Aziz, accompagné d’une délégation comprenant d’importantes personnalités membres du gouvernement, notamment le ministre des Affaires étrangères et de la coopération et le ministre de l’Economie et des finances, a bouclé, mardi 23 avril une visite officielle de 3 jours au Koweït.
Nous ne sommes plus qu’à quelques semaines de la présidentielle. Un important virage dans la jeune histoire de la République islamique de Mauritanie ? Ce serait « la première » occasion, commentent certains, de passer tranquillement le pouvoir à un président élu, consacrant ainsi une alternance pacifique.
Le leader du mouvement abolitionniste, Birame Dah O Abeîd est en tournée politique dans les localités des régions du Trarza, du Brakna ; du Gorgol et du Guidimakha. Tournée qu’il a débuté le 20 Avril par la localité de Rabih (commune de Darel Barka), suivi de l’étape de El Wiam, puis la capitale communale Darel Barka. Partout où il est passé, le leader Biram a été accueilli triomphalement.
« Il y a des services si grands qu’on ne peut les payer que par l’ingratitude », Alexandre Dumas.
Un huitième candidat pour les prochaines élections présidentielles en Mauritanie s’est déclaré hier lundi, en présence de certaines personnalités politiques et syndicales.
Des sources officielles ont indiqué à l’agence de presse Alakhbar que le gouvernement procéderait à la liquidation de la société « Somagaz », et la fusionnerait avec la société mauritanienne des hydrocarbures et qu’il vendrait aux Émirats arabes unis 48% du capital de la nouvelle société.