Biram Dah Abeid a reçu, ce mercredi 22 octobre, la visite d’une délégation de membres du Département d’Etat et du Département de Travail américains. Il s’agit deScott Clayton, Emma Laury et Rokiyah Canty. Continuer la lecture
Archives de l’auteur : Mohamed CIRE
L’obscurantisme religieux mauritanien enfin démasqué
Note d’information d’alerte du Président Biram DAH ABEID à l’endroit de la communauté nationale et internationale
I. Le contexte
Vendredi, 24 octobre 2014, l’Imam de la grande mosquée de Nouakchott, consacrait son homélie, devant les fidèles, à l’appel au meurtre contre le président d’IRA, Biram Dah ABEID, prix de l’ONU pour la cause des droits de l’Homme en 2013 et prisonnier d’opinion récurrent, à cause de son combat contre l’esclavage et le racisme en Mauritanie. Continuer la lecture
IRA PAIE LE PRIX FORT DANS SON FACE A FACE DE LA RELIGION
Trois activistes d’IRA, ont été arrêtés, Vendredi 24 Octobre, suite à une altercation entre eux et des fidèles à la mosquée saoudienne. Les trois activistes sont : l’érudit Brahim Ould Jiddou, Alioune Sow et Salem Vall.Ils ont été incarcérés au commissariat 1 de Tevragh-Zeina, sur instruction des hautes autorités de l’Etat. Continuer la lecture
La shariat et le visage vitriolé des femmes iraniennes
Depuis le 15 octobre les Iraniennes vivent dans la terreur. Plus de quinze jeunes femmes ont été attaquées à l’acide par des motards en plein centre-ville d’Ispahan alors qu’elles étaient au volant de leur voiture. Ces femmes gravement brulées aux mains et au visage, dont certaines resteront aveugles à jamais, avaient la jeunesse et la beauté pour points communs. Continuer la lecture
Réaction à un article intitulé : « Lettre ouverte à son Excellence monsieur Birame Ould Abeid »
J’ai lu par hasard une production intitulée : « Lettre ouverte à son Excellence monsieur Birame Ould Dah Abeid » mise en ligne sur le respectable portail de Cridem le 21 octobre 2014 à 21 heures précises. Le document est signé d’un certain Dodou Elimane Diabira.
Continuer la lecture
La réponse de cridem cache une volonté de protéger un féodal
Le Mercredi 22 octobre 2014 1h35, Cridem Cridem <cridem2014@gmail.com> a écrit :
Bonsoir M. Mohamed,
Cridem ne peut pas publier ce droit de réponse signé à titre personnel. Par contre, si IRA-Mauritanie fait un DROIT DE RÉPONSE, oui, dans ce sens, Cridem est dans l’obligation de le publier. Merci de votre compréhension.
Réaction:
C’est grave ça comme réponse, est il permis de traiter toute communauté de « sauvages et brutaux »? Réponse consternant de cridem pour protéger un feodal soninké. Pourquoi en tant que militant, puis visé directement par les insultes M.Diabira, je ne peux pas répondre? Au nom de quoi Monsieur a le droit de dire ce qu’il veut et nous autres, n’avions pas le droit de répondre? Je ne réponds pas aux griefs à l’adresser de Biram perso mais bien à toute la communauté haratine . En quoi une organisation doit elle répondre à un simple postulant d’un posting? Il est qui, représente quelle organisation ou parti politique? Pourquoi vous le protégez? Dites le nous , qu’on le sache maintenant. Vous publiez des choses alors assumez. Pourquoi vous réclamez une réponse IRA pourquoi? Est ce que vous seriez vous cridem derrière ces insultes sur la communauté haratine? C’est quoi votre problème? On rêve ou quoi?
Mohamed Ould boudha
Une camerounaise en difficultés à Nouakchott IRA- Mauritanie
Droit de réponse à Doudou Elimane Diabira, un sauvage féodal soninké ivre de haine qui s’est permis de traiter les haratine de « brutaux et sauvages ».
Plus que consternant, quand Biram dénonce la barbarie féodale dans les villes et villages du sud, ils s’en prennent à toute la communauté haratine. Comment comprendre dans son charabia, un féodal soninké ivre à mort par la haine signant des diatribes au nom de Diabira se permet de traiter les haratine de « brutaux et sauvages » ? Est ce que dans son discours, Biram s’est adressé à l’ensemble des haalpoulars, soninkés, haratines, maures, wolofs ou aux féodaux esclavagistes qui sèment la terreur dans les communautés noires y compris les haratines? Pourquoi cette passivité du pouvoir face à ces énergumènes qui se croient au dessus de la loi éternellement? On comprend Biram ait mis le doigt là ou ça plus mal, nous entendons les hurlements de douleurs des féodaux, reconnaissons la féodalité noire représente le virus Ebola du siècle qui détruit le tissu sociétal de nos sociétés malgré l’ivresse manifeste d’amertume de certains complexés nègres.
Doudou Elimane Diabira : « Cher Biram, c’est toi qui a des ambitions politiques, alors c’est toi qui a besoin du soutien de la communauté Soninkée, wolof, Pulaar et Maure, si tu veux changer les mentalités, et les comportements, je te demande de t’en prendre autrement, sans continuer à ternir l’image du hartin connu avant pour sa brutalité, sa sauvagerie etc… »Lien : http://www.cridem.org/C_Info.php?article=662321
Est ce qu’avoir des ambitions politiques, ouvrent droits aux injures sur toute la communauté haratine? Est-il interdit d’avoir des ambitions politiques dans un pays où les féodaux se croient sur un terrain conquis d’avance?
Monsieur Diabira n’avait il pas lu que Monsieur Abeid dit clairement qu’il n’a pas besoin le soutien des féodaux nègres ? Pourquoi ces gens se permettent de parler au nom de toutes les communautés alors qu’ils ne sont qu’une infime minorité sans importance au sein de ces communautés ? En quoi peut-on lire dans les propos de Biram qui généralisent ? Sans le soutien des différents pouvoirs esclavagistes, féodaux, est ce que cet homme osera insulter toute une communauté gratuitement comme si rien ne s’est passé ?
Voici Les propos qu’on prête à Biram sont là alors :
« Pour moi l’esclavage et la féodalité n’ont pas de couleur », a-t-il dit avant d’ajouter «et il y a des féodaux et des esclavagistes parmi les Soninkés, les H’ratines, les Pulaars, les Wolofs, lesquels sont esclaves des maures, rampent devant les maures à cause de l’argent, à cause des postes, à cause de la peur, mais qui une fois au village ou devant les autres Noirs se considèrent comme des personnes supérieures. Je leur dis vous n’êtes rien du tout, vous ne venez de rien, vous n’êtes rien, vous ne pouvez rien et vous ne seriez rien. Ils sont esclaves ici dans les bureaux … avec les maures et quand ils partent au village, ils disent nous sommes supérieures, ce sont des ordures »
Eh oui tout le monde sait ce qui est dit ici reflète la vérité alors qu’un certain Diabira s’en ivre de haine, on s’en félicite vivement. Ceci est un signe avant coureur du début de la fin des privilèges illégaux des féodaux dans les villes et villages du Sud.
Mohamed Ould Boudha- IRA-Mauritanie
mohamed_ouldboudha@yahoo.fr
Lettre de M. Diabira à Biram Ould Dah
Droit de réponse à Doudou Elimane Diabira, un sauvage féodal soninké ivre de haine qui s’est permis de traiter les haratine de « brutaux et sauvages ».
Plus que consternant, quand Biram dénonce la barbarie féodale dans les villes et villages du sud, ils s’en prennent à toute la communauté haratine. Comment comprendre dans son charabia, un féodal soninké ivre à mort par la haine signant des diatribes au nom de Diabira se permet de traiter les haratine de « brutaux et sauvages » ? Est ce que dans son discours, Biram s’est adressé à l’ensemble des haalpoulars, soninkés, haratines, maures, wolofs ou aux féodaux esclavagistes qui sèment la terreur dans les communautés noires y compris les haratines? Pourquoi cette passivité du pouvoir face à ces énergumènes qui se croient au dessus de la loi éternellement? On comprend Biram ait mis le doigt là ou ça plus mal, nous entendons les hurlements de douleurs des féodaux, reconnaissons la féodalité noire représente le virus Ebola du siècle qui détruit le tissu sociétal de nos sociétés malgré l’ivresse manifeste d’amertume de certains complexés nègres.
Doudou Elimane Diabira : « Cher Biram, c’est toi qui a des ambitions politiques, alors c’est toi qui a besoin du soutien de la communauté Soninkée, wolof, Pulaar et Maure, si tu veux changer les mentalités, et les comportements, je te demande de t’en prendre autrement, sans continuer à ternir l’image du hartin connu avant pour sa brutalité, sa sauvagerie etc… »Lien : http://www.cridem.org/C_Info.php?article=662321
Est ce qu’avoir des ambitions politiques, ouvrent droits aux injures sur toute la communauté haratine? Est-il interdit d’avoir des ambitions politiques dans un pays où les féodaux se croient sur un terrain conquis d’avance?
Monsieur Diabira n’avait il pas lu que Monsieur Abeid dit clairement qu’il n’a pas besoin le soutien des féodaux nègres ? Pourquoi ces gens se permettent de parler au nom de toutes les communautés alors qu’ils ne sont qu’une infime minorité sans importance au sein de ces communautés ? En quoi peut-on lire dans les propos de Biram qui généralisent ? Sans le soutien des différents pouvoirs esclavagistes, féodaux, est ce que cet homme osera insulter toute une communauté gratuitement comme si rien ne s’est passé ?
Voici Les propos qu’on prête à Biram sont là alors :
« Pour moi l’esclavage et la féodalité n’ont pas de couleur », a-t-il dit avant d’ajouter «et il y a des féodaux et des esclavagistes parmi les Soninkés, les H’ratines, les Pulaars, les Wolofs, lesquels sont esclaves des maures, rampent devant les maures à cause de l’argent, à cause des postes, à cause de la peur, mais qui une fois au village ou devant les autres Noirs se considèrent comme des personnes supérieures. Je leur dis vous n’êtes rien du tout, vous ne venez de rien, vous n’êtes rien, vous ne pouvez rien et vous ne seriez rien. Ils sont esclaves ici dans les bureaux … avec les maures et quand ils partent au village, ils disent nous sommes supérieures, ce sont des ordures »
Eh oui tout le monde sait ce qui est dit ici reflète la vérité alors qu’un certain Diabira s’en ivre de haine, on s’en félicite vivement. Ceci est un signe avant coureur du début de la fin des privilèges illégaux des féodaux dans les villes et villages du Sud.
Mohamed Ould Boudha- IRA-Mauritanie
mohamed_ouldboudha@yahoo.fr