Au moment ou la Mauritanie vit à l’instar du monde entier, la terrible propagation d’un virus méconnu du monde scientifique, un virus qui a écroulé les plus grandes puissances du monde avec toute leur économie et système social et de solidarité pourtant bien structurés, nous voila malheureusement chez nous en Mauritanie,
assister à une double peine, celle du virus invisible qui confine, ronge, affame et tue, et celle d’un pouvoir autocratique qui réprime énergiquement et emprisonne sans insouciance les militants pacifiques de l’IRA qui réclamaient ce 20 Avril 2020, la libération immédiate et sans condition de Meriem Mint Cheikh, une Continuer la lecture

En Afrique subsaharienne, les autorités doivent agir de toute urgence afin de protéger les personnes détenues contre le COVID-19, notamment en libérant les prisonnières et prisonniers d’opinion, en réexaminant les dossiers des personnes placées en détention provisoire et en assurant l’accès aux soins de santé et aux produits sanitaires dans tous les 
Les militants de l’Initiative de résurgence abolitionniste en Mauritanie (Ira-M) – Mauritanie sortaient, le matin du 20 avril 2020, sur l’avenue principale de la capitale Nouakchott, pour réclamer, pacifiquement, la libération de Mariem Cheikh injustement incarcérée 8 jours plus tôt.
Les autorités mauritaniennes ont continué de restreindre les droits humains.
Quelque 50 millions de personnes sont menacées par la faim en Afrique de l’Ouest en raison de l’impact de l’épidémie de Covid-19 ajoutée aux problèmes de sécheresse et à l’insécurité dans la région, a averti l’ONG Oxfam mardi.
Selon un communiqué du mouvement antiesclavagiste (IRA) c’est au nom de la Loi 2018-023 portant incrimination de la discrimination du 18 juin 2018 que les autorités sécuritaires mauritaniennes auraient procédé, lundi 13 avril 2020 aux environs de 16 h, à l’arrestation de Marième Mint Cheikh, activiste de ce mouvement.
La commission d’enquête parlementaire a convoqué Madame Aghlana Mint Al-Gharrabi pour être entendue, dans le dossier de la faillite de la Société nationale d’importation et d’exportation (Sonimex), devenant ainsi la première femme convoquée par la commission qui a déjà écouté des dizaines de fonctionnaires.