Mauritanie : une centrale syndicale qualifie de « déplorable » la situation des travailleurs

Mauritanie : une centrale syndicale qualifie de  La Confédération générale des travailleurs de Mauritanie (CGTM) a tiré la sonnette d’alarme au sujet d’une « situation déplorable » des travailleurs dans le pays.

Elle a fait état, dans un communiqué, de grèves ou préavis de grève et de sit-in de protestation, depuis quelques jours, dans un grand nombre de domaines allant des mines jusqu’à l’enseignement en passant par les dockers et les télécommunications. Continuer la lecture

Les industries extractives ont rapporté 128 millions de dollars (rapport 2016)

Les industries extractives ont rapporté 128 millions de dollars (rapport 2016) Les revenus générés par le secteur des industries extractives en Mauritanie ont atteint un chiffre global de 44,956 milliards de MRO, selon le rapport du Comité National de l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (CNITIE), portant sur l’année 2016, présenté à l’occasion d’une rencontre organisée mercredi.

Ce montant a été déterminé « sur la base des données déclarées, après travaux de conciliation. Il englobe tous les revenus encaissés par le Fonds National de Recettes des Hydrocarbures (FNRH), soit 12,181 milliards de MRO, le trésor public pour 32,107 milliards d’ouguiyas et au titre des paiements sociaux infranationaux pour 688 millions de MRO », Continuer la lecture

Libye : la France pointée du doigt

Libye : la France pointée du doigt ANALYSE. Le gouvernement d’union nationale, reconnu par la communauté internationale, accuse Paris de soutenir en sous-main le maréchal Haftar. Un double jeu embarrassant alors que la guerre prend de l’ampleur.

De la nitroglycérine. La politique française menée en Libye sous l’égide de Jean-Yves Le Drian depuis sept ans – ministre de la Défense sous François Hollande (2012-2017) puis ministre de l’Europe et des Affaires étrangères depuis l’élection d’Emmanuel Macron – est devenue un sujet de conflit potentiellement explosif entre Tripoli et Paris. Continuer la lecture

Moi aussi j’étais à Oualata (Deuxième partie)/Par Oumar Ould Beibacar

[…] Pendant l’hivernage, l’administration de M’Bagne se déplaçait de M’Bagne à l’école de Niabina, à quinze kilomètres, au Nord, sur l’axe Boghé-Kaédi. Quand on vint à Niabina, je demandai à maman si l’on pouvait dire : Do weni Niabina (ici c’est Niabina), Do weni Bagodine (ici c’est Bagodine) situé à l’Est de Niabina, Bagodine dont on voyait la mosquée, à partir de Niabina. Elle me répondit : « vous pouvez dire tout ce que vous voulez. L’interdit, c’est Do weni Mbagne (ici c’est M’Bagne). Continuer la lecture

Moi aussi j’étais à Walata (troisième partie)/Par le colonel (E/R) Oumar ould Beibacar

Arrivés des Walis sortants et entrants

Le samedi 3 septembre 1988 à 11h, arrivée des capitaines Ainina ould Eyih, le wali sortant, nommé directeur général de la Sonelec, et le capitaine Wellad Ould Haimdoune, nouveau wali de Néma. Vers 14h, j’étais convoqué par le capitaine Ainina dans le domicile du wali, on lui aurait remonté les bretelles au ministère de l’Intérieur, au sujet de la situation catastrophique des prisonniers dénoncés par mon chiffré. Il m’avait dit : Continuer la lecture