
Le célèbre chef de la diplomatie britannique Boris Johnson, qui a fait des gaffes et des déclarations fracassantes sa marque de fabrique, a de nouveau frappé la semaine dernière lors d’une conférence organisée à Rome sur le thème du dialogue.
Ces esclaves « travaillent sans repos, sans salaire et sont violés nuit et jour parce que pour le maître, violer une esclave, c’est un droit », dénonce Abdou Babou, membre de l’Ira (initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste).
Malgré les risques qu’ils encourent, les membres de ce mouvement militent contre l’esclavage. Leur arme « la plus redoutable » ? Les réseaux sociaux.
Les dix anciens détenus abolitionnistes qui ont recouvré la liberté, le 18 novembre dernier, ont exprimé leur détermination à poursuivre leur combat contre l’esclavage, le racisme et les injustices.
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Quand on évoque l’esclavage, on s’imagine souvent qu’il s’agit d’une page sombre de l’histoire rattachée à la Rome antique. Bref, que tout cela n’est qu’un lointaine passé. Pourtant, des hommes et des femmes sont encore aujourd’hui réduits à l’esclavage. Et le pays qui en compte le plus est la Mauritanie.