« La Mauritanie est un pays où des hommes, des femmes et des enfants sont soumis au travail forcé et au trafic sexuel »,selon le Rapport 2015 du Département d’État Américain sur le Trafic des Personnes, consulté par Alakhbar.
« Les adultes et les enfants des castes traditionnelles des communautés des Maures Noirs et des Négro-africains sont victimes de pratiques esclavagistes enracinées dans les relations ancestrales maître-esclave. Continuer la lecture
Archives de l’auteur : Mohamed CIRE
Communiqué de A.H.M.E
La fête de l’Humanité aura lieu le 11, 12, 13 septembre 2015. Mohamed Yahya OULD CIRE dédicacera son livre « Mauritanie entre l’Esclavage et le Racisme » ed. l’Harmattan ainsi que sa thèse: « L’Abolition de l’esclavage en Mauritanie et les difficultés de son application » ed. l’ A.N.R.T, au sein du stand des deux sections du parti Communiste ( Clichy s/s bois et Montfermeil), situé avenue Fatima Bedar. Sa présence sera effective le 12 et 13 septembre 2015.
Mohamed Yahya OULD CIRE
Président de A.H.M.E
Site: www.haratine.com
Journal: Cri du Hartani
Courriel: ahme@haratine.com
Remaniement en Mauritanie : les femmes changent de place
Le président Aziz entouré par Mint Soueine’e (MAEC) et Mint Mbareck Fall, Sec d’Etat chargé des Mauritaniens de l’étranger
Ce réaménagement ministériel est comme les précédents : il tombe quand on ne l’attend pas. Quand on ne l’attend plus. Je l’ai dit une fois : Aziz n’aime pas faire les choses sous le diktat de la rue. Ou de sa réplique « institutionnelle » : la presse privée. Les deux parlaient, il y a plusieurs mois, d’un remaniement « imminent » ; on a attendu, attendu et puis paf ! Continuer la lecture
Open letter from Biram Dah Abeid Aleg Prison, 20 August 2015
My name is Biram Dah Abeid. I have devoted my life to the struggle against slavery, impunity and injustice. It’s a promise I made to my father, who married a slave and whose family was ripped apart because of slavery. Today, I am writing to you from the prison cell I am kept in for speaking out to end this cruel trade. Continuer la lecture
Free Biram, end slavery in Mauritania
I became a slave at age 5. Every day I looked after the herd. Every night I was raped by my master. I always thought, without understanding, that this was normal. Continuer la lecture
Mon opinion sur le dernier remaniement : Aziz n’a pas besoin de «Rajout » et liquide les deux «Izidbih»
Libérez Biram, mettez fin à l’esclavage en Mauritanie

Je suis devenue esclave à l’âge de 5 ans. Chaque jour, je devais m’occuper du troupeau. Chaque nuit, j’étais violée par mon maître. J’ai toujours cru, sans vraiment comprendre, que c’était normal.
En Mauritanie, d’où je viens, des centaines de milliers de personnes sont encore réduites en esclavage aujourd’hui.Mais j’ai eu de la chance. Mon frère a pu échapper à ses maîtres et a rejoint une organisation anti-esclavagiste. Ils sont venus me libérer. Continuer la lecture
L’opposition opportuniste se prépare à distraire la galerie en Mauritanie.
Après plusieurs tentatives de relance de l’opposition que je qualifie d’opposition normale pour ne point utiliser le mot opposition radicale pour un dialogue sérieux et inclusif, on assiste encore ,ce que l’on appelle en Mauritanie du déjà-vu. Chaque chapelle politique, chaque tendance, et chaque opportuniste commence à affuter ses armes, à chercher la petite phrase, à se faire plaire au pouvoir despotique pour en tirer le maximum de profit en laissant de marbre les vraies préoccupations du pays.Et c’est toujours les mêmes remarquez les bien . Continuer la lecture
Exclusif: VIDEO de l’une des domestiques rescapées de la torture en Arabie Saoudite
Mariyaa Mint Bah a révélé dans la première déclaration de presse faite par l’une des femmes mauritaniennes victimes du travail domestique en Arabie Saoudite à la chaîne électronique mushahide, les atrocités commises par les familles saoudiennes sur les compatriotes embauchées en leur qualité de bonnes.
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Libre Expression. Colonel Oumar Ould Beibacar : « mi-tort,mi-raison »
« Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé »(B.Pascal).
Si le colonel Oumar Ould Beibacar avait été laissé à la tête de l’Inspection des Forces Armées, ou si l’on avait prolongé son service militaire de deux ans au moins, ou enfin lui avoir accordé le grade de général, les circonstances de son parcours auraient peut-être changé le destin de notre sympathique officier. Continuer la lecture


