1- Le règlement de comptes en cours, avec l’ancien président
2- L’éloignement de l’échéance des élections
3- La satisfaction par le régime des doléances (y compris matérielles) de certains opposants.
Ould Izidbih a affirmé que dès que la farce du procès de l’ancien président se termine, ou que la date des élections approche, ou que le «robinet» des biens publics s’épuise, une forte secousse apparaitra probablement, pour souffler toute cette hypocrisie politique.
L’ancien directeur du cabinet de Ould Abdel Aziz a averti que « la controverse indiscrète, ces dernières semaines, concernant le deuxième mandat de l’actuel président de la république, préfigure le danger de la bombe à retardement politique que certains crédules manipulent malicieusement ».
Source : https://mourassiloun.com/node/15515
Traduit par adrar.info