L’association, dirigée par la professeur El Mouvida Sid’El Moctar, a déclaré que le projet de loi « décrit les caractéristiques d’une vie sociale et culturelle qui contredit la charia et transforme les relations familiales en un conflit entre conjoints et entre parents et enfants, ce qui propage les mauvaises moeurs et reduit les relations parentales».
L’association a déclaré dans son communiqué que « la dignité de la femme et le bonheur de la famille résident en le système social de l’islam et son application avec l’obligeance et la générosité que cela signifie ».
« Les violations des droits des femmes sont étrangères à notre société et à notre culture, et les combattre reviendrait à se reférer à la glorieuse charia».
Le communiqué souligne que le crime de viol nécessite la promulgation de lois dissuasives qui barrent la voie aux criminels et protègent les femmes, ainsi que le rétablissement des valeurs via la propagation de l’esprit de foi en Dieu et la peur de ses sanctions.
L’association qui s’active dans les domaines culturel et éducatif a souligné que la famille, est restée le rempart de la communauté musulmane face aux tentatives d’occidentalisation. Son secret reste son adhésion à ses nobles valeurs par une éducation appropriée et une prise en charge responsable des enfants.
Tout comme l’islam a organisé des relations au sein de la famille, fondées sur des droits et des devoirs interdépendants et détaillés et a exhorté à la cohésion et à la compassion.
Traduit par Adrar.info
Source : Adrar-Info (Mauritanie)