Le Conseil des ministres, au cours d’une réunion extraordinaire, mercredi 6 mai 2020, a approuvé le projet de loi sur les violences basées sur le genre (VBG), loi qu’il compte soumettre aux députés, après deux tentatives infructueuses en 2016 et en 2018.Continuer la lecture

Depuis l’adoption, en 2016, d’un projet de loi, d’ailleurs retoqué plus d’une fois, la Mauritanie ne parvient, encore, à produire une norme de protection de la femme contre les violences, le mépris, l’humiliation et la minorité civile.
L’Association de la femme mauritanienne pour l’éducation et la culture a annoncé son rejet de la loi, qui a été ratifiée par le gouvernement, lors de sa réunion de mercredi dernier, et l’a décrite comme « monté sans les conseils de la charia et sans aucun fondement dans les nobles valeurs de notre société ».
Le député mauritanien, Biram Dah Abeid s’étonnait le 18 février dernier à Genève de la place de la Mauritanie au sein du conseil des droits de l’Homme des Nations Unies alors que « ce pays est un apartheid implanté en Afrique de l’Ouest ».
Le Délégué Général à la Solidarité Nationale et à la Lutte Contre l’Exclusion « TAAZOUR », le Ministre Mohamed Mahmoud BOUASSRIYA a procédé à la nomination de plusieurs responsables au sein de cette importante structure relevant de la Présidence de la République.
Le parti islamiste en Mauritanie (Parti Tawassoul), qui compte le plus grand bloc politique d’opposition, à l’Assemblée nationale (Parlement), a mis en garde contre le silence des autorités, face à une vague généralisée de corruption affectant divers secteurs de l’État. 
CNDH – Suite à la propagation de la pandémie du corona virus dans le monde, et les mesures et precautions décidées par les autorités mauritaniennes, la Commission Nationale des Droits de l’Homme porte à la connaissance de l’opinion publique