La député Aicha Boune a appelé la communauté mauritanienne à l’étranger à élire leurs représentants au parlement. Elle affirme que les mauritaniens de l’étranger sont plus conscients de leur réalité et sont davantage en mesure de poser leurs problèmes et de les défendre.
Au cours d’une réunion organisée par le parti Tawassoul, Aicha Boune a également appelé la diaspora mauritanienne à faire pression sur le gouvernement pour avoir un droit de vote aux élections présidentielles et parlementaires, ainsi que le droit de choisir leurs représentants à l’assemblée nationale.
Source : Senalioune

N’étant, ni ministrable, ni même électeur, ni élu, ni éligible, étant détenteur d’une nationalité étrangère, je suis en tout point dans une neutralité qui me confère une prise de distance par rapport à toute position partisane et par rapport à tout intérêt moral ou matériel en rapport avec la personne dont cet article est l’objet.
Le gouvernement mauritanien a dégagé sur des fonds propres de l’État un montant de 655 484 932 d’ouguiyas NUM pour le projet de construction de deux immeubles de 10 étages à usage administratif.

En Mauritanie, l’opposition et le pouvoir renouent le dialogue après une longue période de rupture.
Les vagues de réactions hostiles, provoquées par les propos d’ Ahmedou Ould Al Wadia au sujet des résultats du dernier concours de recrutement d’élèves officiers, continuent de nourrir les débats, y compris au sein du propre camp politique d’Al Wadia.
Le Calame – Le premier ministre a fait sa déclaration de politique générale devant le parlement le 5 septembre, qu’est ce que le politicien et syndicaliste que vous êtes à la fois a retenu de ce discours ?
Nous avons eu connaissance d’une note adressée aux hautes autorités Mauritaniennes, note rédigée par Dicko Hanoune depuis la France. Un natif pur produit du Guidimakha, Secrétaire Général de l’Association des Haratine de Mauritanie en Europe.
Ce mercredi 18 Septembre, des mauritaniens manifestaient à Bruxelles, devant le Parlement européen, pour dénoncer un cas d’esclavage en Mauritanie, sur la personne de Gaya Mint Mohamed âgée de 14 ans.