Vaccins et virus, le bioterrorisme impérialiste

Vaccins et virus, le bioterrorisme impérialiste

On ne s’étonnera pas d’apprendre qu’il existe des programmes de stérilisation forcée à destination des pays pauvres, dont les habitants semblent surnuméraires aux pays riches ; ce sont les campagnes de vaccination qui se prêtent à l’inoculation de poisons, en provoquant des fausses-couches, scandale dénoncé par les évêques du Kenya en 2014, après le scandale de la stérilisation des hommes au Mexique en 1994, et aux Philippines celle des femmes, en 1995.

Ce sont les vaccins antitétaniques, très répandus, qui sont infestés de poisons.[1] Ce sont généralement les organisations catholiques qui dénoncent ces pratiques macabres.[2] On comprend mieux le tapage fait autour de l’épidémie d’Ebola, destiné à susciter un grand appétit de vaccin, d’un vaccin à l’étude… mais les Africains ne sont pas dupes, le gouvernement du Sierra Leone a fait fermer le laboratoire d’armes biologiques qui à l’évidence répandait la maladie, et l’épidémie s’est résorbée, par la simple application des mesures d’hygiène recommandées pour toutes les épidémies. La terrifiante épidémie annoncée a fait moins de morts que la grippe !

 

Glenn Thomas

Glenn Thomas

La naïveté n’est plus de mise. Selon certains spécialistes des campagnes médiatiques et de leurs enjeux secrets, l’affaire du virus Ebola relèverait d’une expérimentation à des fins militaires ; mais l’opération a probablement été déjouée par des lanceurs d’alerte ; ainsi l’expert Glenn Thomas et d’autres ont peut-être été sacrifiés, mais des journalistes honnêtes avaient déjà pris le relais et fait connaître leurs conclusions. Voici l’un des textes décisifs qui a bloqué le projet :

« Glenn Thomas, consultant principal à Genève pour l’OMS, un expert du sida et, surtout, expert du virus Ebola, était à bord du Boeing 777 de la Malaysia Airlines abattu à la frontière entre l’Ukraine et la Russie. Glenn Thomas était également le coordonnateur des médias pour l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et il a été impliqué dans les enquêtes qui s’intéressaient à la question des opérations d’essai du virus Ebola dans le laboratoire d’armes biologiques à l’hôpital de Kenema. Maintenant que ce laboratoire a été fermé par décret du gouvernement du Sierra Leone, plus de détails émergent sur les intérêts cachés derrière sa gestion. Bill et Melinda Gates ont des liens avec des laboratoires d’armes biologiques situés à Kenema, l’épicentre de l’épidémie d’Ebola développée à partir de l’hôpital où des essais cliniques étaient menés sur l’homme pour le développement d’un vaccin. Après l’ouverture d’une enquête informelle, il semble que le nom de George Soros, via ses fondations, finance le laboratoire d’armes biologiques. Glenn Thomas était au courant de preuves montrant que le laboratoire avait manipulé un diagnostic positif du virus Ebola [au nom de l’Université de Tulane] pour justifier un traitement médical coercitif sur la population, un vaccin expérimental qui, en fait, a propagé le virus Ebola. Glenn Thomas avait refusé de cautionner cette imposture, contrairement à certains qui travaillent à l’Institut de la Santé et qui sont maintenant conscients que Glenn Thomas a été assassiné. 

Les médias officiels n’ont jamais rapporté une seule nouvelle sur la présence du laboratoire d’armes biologiques à Kenema, et encore moins l’ordre donné à l’Université de Tulane d’arrêter les essais impliquant le virus Ebola.

Le milliardaire George Soros, à travers son réseau de fondations « Open Society », a mis en place depuis de nombreuses années « des investissements importants » dans le « triangle de la mort de l’Ebola », c’est-à-dire au Sierra Leone, au Liberia et en Guinée. Par conséquent, le motif de George Soros pour éliminer le porte-parole de l’OMS, Glenn Thomas, était d’arrêter la propagation des nouvelles par les voies officielles à l’effet que l’épidémie d’Ebola a été orchestrée à une table dans un laboratoire d’armes biologiques. 

Une longue série de coïncidences étranges émergent de l’hôpital de Kenema, centre de recherche où a travaillé Cheikh Humar Khan, le médecin-héros qui est décédé le 29 juillet dernier après avoir été infecté par le virus Ebola. Khan a dirigé le laboratoire où les tests ont été effectués sur la population locale pour trouver de nouveaux cas. Laboratoire qui a un partenariat avec l’Université Tulane à la Nouvelle-Orléans, célèbre pour son expertise sur les maladies tropicales et la recherche sur l’Ebola.

L’hôpital de Kenema collabore également avec l’Institut de recherche médicale de l’US Army, le secteur des forces armées américaines qui est en charge des maladies infectieuses. Selon les déclarations officielles, des expérimentations et tests ont été faits pour le développement de vaccins contre la fièvre jaune et la fièvre de Lassa, pour vacciner les soldats. Selon les populations locales, des essais d’armes biologiques, soit de nouveaux virus créés pour être utilisés en temps de guerre, ont été faits, raison pour laquelle elles ont attaqué le centre de Kenema puisque tous ceux qui sont venus passer un dépistage pour le virus Ebola en sont ressortis malades. Tant et si bien que le Ministère de la Santé du Sierra Leone, le 23 juillet, a fermé le laboratoire et l’hôpital et a transféré les patients au centre de traitement Kailahun et a ordonné à l’Université de Tulane de cesser les tests sur le virus Ebola. Quel test? Ça n’a pas été précisé. Le Ministère a également ordonné au CDC, le Center for Disease Control aux États-Unis, « d’envoyer officiellement les conclusions et recommandations de l’évaluation du laboratoire de Kenema » à propos de ce qui n’est pas clair. 

Une étude publiée en juillet par le CDC et signée par Humar Khan, Randall Schoepp, Cynthia Rossi et Joseph Augustin Goba Foire, a signalé que « le virus Ebola qui a infecté le Sierra Leone pourrait être le résultat d’un virus ou d’une variante de la génétique Bundibugyo du virus Ebola ». Le 31 juillet, le président de ce petit pays d’Afrique, Ernest Bai Koroma, a déclaré l’état d’urgence et il a parlé de la recherche du Dr Khan qui demandait si la virulence du virus Ebola avait été obtenue par une mutation génétique. Pourquoi le virus qui cause la fièvre hémorragique en Afrique existe (et tue) depuis des siècles, mais séjourne dans certaines limites ? La directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, a commencé en août à se demander s’il existe une mutation du virus Ebola ou une adaptation du virus. »[3]

Le citoyen américano-ghanéen Nana Kwame a expliqué comment c’est une série d’effets en chaîne qui était attendue, débouchant sur une implantation militaire US augmentée, au Sierra Leone, premier producteur de diamants au monde, et au-delà, au Liberia et au Nigeria. L’auteur ne croit pas que le but de l’opération ait été la stérilisation de masse. Les fabricants de mort aux rats ont pourtant bien mis au point le procédé…[4]

En tout cas, depuis la publication du texte ci-dessus, on ne parle plus d’Ebola. Comme la grippe H1N1, qui a donné lieu à une campagne de vaccination complètement inutile et rejetée par les Français, Ebola a disparu, mystérieusement, avant que le moindre vaccin ait pu être administré aux populations. On a annoncé à très bas bruit, en mars 2015, qu’Ebola ne tue plus et on n’a recensé officiellement que 10 000 victimes, alors qu’un an plus tôt, on en annonçait des millions. L’affaire Ebola a donc surtout servi à vendre des tenues de martiens aux humanitaires occidentaux ! Preuve s’il en est que la psychose de masse nous est constamment injectée par les agences médiatiques, mais que la santé mentale de gens décidés et courageux peut reprendre le dessus.

Ainsi donc, entre fabriquer un vaccin toxique et propager un virus considéré comme « arme biologique » requise par l’armée US, il n’y a qu’une marge infime puisque c’est dans les mêmes laboratoires que tout cela est testé et mis au point. Pour ce qui est du SIDA, son évaluation en temps qu’arme officielle a été faite par certains chercheurs officiels américains eux-mêmes : c’est un chercheur noir américain, le Dr Boyd Graves, qui a affirmé, pour avoir travaillé précisément dans le laboratoire incriminé, que le virus du sida avait été élaboré en tant qu’arme biologique.[5] En outre, Jean-Marie Milleliri, chercheur à l’Institut de médecine tropicale, Service de santé des armées (Marseille) a établi que le sida était utilisé comme arme dans les conflits armés en Afrique.[6]

Pour Haïti, on a remarqué qu’un vaccin antipolio a été massivement administré alors qu’il n’y avait aucun cas de polio, mais des cas sont bien apparus après la campagne « prophylactique » ; il en a été de même au Liban. Il y a visiblement des pays dont on veut réduire la population par tous les moyens et, sans les en informer bien sûr, on ne leur administre pas exactement les mêmes produits que dans nos pays occidentaux. Toujours dans le domaine de la polio, en parfaite ignorance des cas ci-dessus, d’autres cas viennent d’être signalés au Mali, à la suite d’une campagne de vaccination « préventive ». Et le seul remède proposé est de… vacciner encore plus.[7]

 

En cours d’expérimentation : la vaccination qui « immunise contre la reproduction »

En ce moment, la contraception immunologique est l’arme de masse qui pourrait opérer « en douceur » pour stériliser les Africains. A l’étude et expérimentée depuis les années 1970 sur les femmes, on envisage sérieusement, maintenant, de la mettre en œuvre chez les hommes aussi. Il s’agissait d’abord d’administrer des vaccins sophistiqués comportant de l’aluminium et d’autres composants générant dans le corps des femmes une immunité contre l’embryon qui cherche à nidifier, grâce à l’hormone HCG. Les résultats ne sont pas satisfaisants. Mais d’autres applications du principe sont expérimentées, de façon à contourner les objections des mouvements anti-avortement.

La recherche sur les animaux est très avancée, et le langage utilisé par les spécialistes est plus direct qu’en ce qui concerne les humains. En voici un échantillon : « Le contrôle de la fécondité a pris un élan considérable, en tant qu’outil de gestion des populations des animaux en captivité et sauvages et moyen de contenir les comportements agressifs et d’améliorer la qualité de la viande issue des animaux de rente. La vaccination visant à contrôler la fécondité (contraception et castration immunologiques) est une alternative aux méthodes basées sur la stérilisation chirurgicale ou chimique, ou sur le contrôle létal des populations.

Deux types de vaccins expérimentaux ont été enregistrés pour la contraception immunologique des animaux, en vue d’une utilisation sur le terrain. Ils contiennent soit des protéines prélevées de la zone pellucide (PZP) d’ovaires de truie, soit des conjugués de peptides synthétiques de l’hormone stimulatrice de la gonadotrophine (GnRH). Ces vaccins devant être administrés régulièrement, leur utilisation n’est envisageable que pour des animaux maintenus en captivité ou pour des populations limitées d’animaux sauvages. D’autres possibilités de contraception immunologique sont à l’étude afin d’améliorer l’efficacité de la méthode ou de permettre son utilisation sur des populations plus nombreuses d’animaux sauvages. Ces méthodes sont basées sur l’utilisation de virus vivants génétiquement modifiés pour empêcher la conception »[1]. Il suffit de remplacer « animaux » par « Africains » pour donner tout son sens aux travaux du Dr Basson et d’autres.