Après une espèce de pause estivale, les limiers de la police économique ont visiblement accéléré la cadence des auditions ; ils pourraient boucler rapidement leur enquête.
L’ultime étape se concentre sur les confrontations de l’ex-Président, principal suspect de ce qui ressemble fort à un scandale, Continuer la lecture

Dimanche 27 septembre une fois encore, la police des crimes économiques et financiers a convoqué l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz pour l’entendre. Sauf que cette fois, elle souhaitait l’entendre pour confirmer ou infirmer ce que les coaccusés avaient déclaré en son absence.
Le face à face Ould Abdel Aziz – ministres de son régime, a bien eu lieu ! C’était dimanche et lundi matin dans les locaux de la police chargée des crimes économiques et financiers. Convoqué samedi, l’ex-président ne sera au rendez-vous qu’en milieu de journée de dimanche.
La diplomatie mauritanienne, si tentée qu’elle existe de quoi est-elle le nom ? Vaste question ! Précisons un peu les choses :
La police chargée des crimes économiques et financiers a autorisé l’avocat de l’ancien président, Me Mohameden Ould Icheddou, à l’assister au cours de la récente séance de confrontation avec d’autres piliers de son système, ont révélé des sources bien généralement bien informées.
Rien dans la constitution mauritanienne, ni dans son préambule, ni dans son corps, ni dans sa rédaction originelle, ni dans ses versions révisées, une seule disposition énonçant l’institution d’une quelconque commission d’enquête parlementaire, ou prévoyant sa création.
Les avocats de l’ancien président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, ont réagi à la dernière convocation de leur client par la police chargée de la répression des crimes économiques. Ils dénoncent plusieurs violations flagrantes de la constitution et des lois.
Appelons les personnes et les choses par leurs noms, et sachons qualifier correctement les situations et les fonctions !
Le protocole de mise en œuvre du projet de coopération relatif au renforcement de la protection des victimes des violences basées sur le genre (VBG) a été signé ce mardi matin dans les locaux du ministère de la Justice.
La police chargée des crimes économiques et financiers a convoqué ce mardi 29 septembre plusieurs responsables de la décennie dont des ministres, directeurs généraux et hommes d’affaires dont les noms ont figuré dans le rapport de la commission d’enquête parlementaire sur des dossiers de gabegie de la période allant de 2009 à 2019 pendant laquelle l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz était au pouvoir.