Dar Naim est l’un des neuf départements de la banlieue de Nouakchott (capitale de la république islamique de Mauritanie), ce département a toujours été le lieu d’habitation des populations pauvres et déshéritées c’est-à-dire les franges noires d’origine et de condition servile (les hratin). Lire la suite
Interview de Boualem Sansal relative à l’Islam
«Je suis effrayé par l’évolution foudroyante de l’islamisme européen en moins de 10 ans» (Boualem Sansal, écrivain algérien)
Interview de Jean Boudier relative aux Mensonges de l’Histoire
« L’enseignement de l’Histoire en France
est une guerre civile »
(Fustel de Coulanges)
Entretien avec Jean Boudier auteur de Mensonges historiques (entretien réalisé par Fabrice Dutilleul d’après l’introduction du livre)
Le Nigeria, 1ère puissance économique africaine
Le pays va bientôt doubler l’Afrique du Sud grâce au développement rapide de secteurs comme les télécoms et l’industrie du cinéma.
Le Nigeria pourrait être propulsé ce week-end au rang de première économie africaine, devant l’Afrique du Sud, à l’occasion de la publication de la nouvelle estimation de son PIB, calculé selon une nouvelle méthode. Les nouveaux chiffres de l’économie du pays le plus peuplé d’Afrique doivent être dévoilés dimanche par le Bureau national des statistiques. Des statisticiens des Nations unies recommandent aux pays de modifier tous les cinq ans le mode de calcul de leur produit intérieur brut pour prendre en compte les évolutions dans la production et la consommation, mais le Nigeria n’avait pas modifié sa méthode de calcul depuis 1990.
Interview de Mohameden Ould Elbou au Calame
Trois questions à Mohameden Ould Elbou, ancien directeur de l’Enseignement fondamental et membre du comité de suivi du Manifeste des Haratines: ‘’Nous assisterons, impuissants, à la dislocation à petit feu de la Mauritanie’’!
Le Calame : Dans un peu plus d’un mois, ce sera l’an I du lancement du Manifeste dont vous êtes membre du comité de suivi. Où en est-on, par rapport aux objectifs du document ?
MAURITANIE: Les derniers négriers
En Mauritanie, des milliers d’hommes et de femmes à la peau noire sont toujours traités comme des marchandises. Voyage au cœur de l’un des derniers pays où l’on naît esclave.
Dessin de Falco.
Il existe un pays où des êtres humains naissent pour une seule raison : servir leurs maîtres. Comme leurs parents avant eux. Et comme leurs futurs enfants, qui leur seront arrachés en bas âge pour être donnés en héritage ou en cadeau de noces.
A.H.M.E & Mondafrique
Le site internet www.haratine.com, dédié à la lutte contre l’esclavage en Mauritanie fait peau neuve ! Au menu, des articles quotidiens, des témoignages d’anciens esclaves, des rapports, et le compte rendu des activités des mouvements abolitionnistes mauritaniens.
Vingt ans après le génocide, l’historien Jean-Pierre Chrétien analyse la logique qui a conduit au projet d’extermination des Tutsis.
Près d’un million de morts en seulement cent jours : le génocide de la minorité tutsie, qui s’est déroulé au Rwanda il y a exactement vingt ans, constitue la plus fulgurante tentative d’extermination de l’Histoire contemporaine. Pourquoi cet événement reste-t-il si mal connu, et si peu reconnu ? C’est une des interrogations à laquelle tente de répondre l’historien Jean-Pierre Chrétien dans son dernier livre, Rwanda, Racisme et Génocide, l’idéologie hamitique (1). Ce spécialiste de l’Afrique des Grands Lacs y analyse aussi les raisons qui ont rendu possible un tel massacre. Car il a fallu des années de propagande, de falsification de l’Histoire, imposée notamment par le colonisateur, et de stigmatisation de l’Autre pour convaincre les esprits de la nécessité du pire. Au fond, l’Histoire se répète, et l’historien ne manque pas de souligner les parallèles troublants entre l’antisémitisme en Europe qui a conduit à la Shoah et ce qui s’est passé en 1994 dans ce petit pays au cœur de l’Afrique.
Interview de Boris Diop relative au génocide rwandais
Rue89 – Vingt ans après le génocide des Tutsis, qui a fait 800 000 morts entre avril et juin 1994, l’intellectuel sénégalais Boubacar Boris Diop, revient sur sa portée en Afrique, où l’instrumentalisation du fait religieux semble l’avoir emporté sur celle du fait ethnique.
A 67 ans, Diop est le co-auteur, entre autres, de « La Gloire des imposteurs » (éd. Philippe Rey, 2014). Il a participé en 1998 à un atelier d’écriture au Rwanda, avec neuf autres écrivains africains.
DÉCLARATION COMMUNE DE LA DIASPORA MAURITANIENNE D’EUROPE A L’OCCASION DE LA VENUE DU PRESIDENT MOHAMED OULD ABDEL AZIZ A BRUXELLES
L’objet de notre démarche touche des dizaines de milliers de citoyens mauritaniens en Europe et dans le monde, c’est pour ces raisons que la Diaspora Mauritanienne en Europe et se permet de vous exposer les problèmes rencontrés par les citoyens mauritaniens.