Suite à la réélection du président Mohamed ould Cheikh El Ghazouani, les exclus, les marginalisés, les déshérités, les laissés-pour-compte, les opposants et les autres patriotes aspirant à l’alternance démocratique vont encore souffrir cinq longues années de chauvinisme, népotisme, favoritisme, gabegie, incivisme et insouciance. Truffée de déceptions et de désillusions, l’expérience donne en effet à redouter que Ghazouani ne parvienne pas à réaliser, au cours de son second mandat, ce qu’il n’a pas pu concrétiser dans le premier, plus particulièrement en ce qui concerne la gouvernance et la fracture sociale.
En ce qui concerne cette dernière, il est certes indéniable que le Président a affiché un réel engagement Lire la suite