Mohamed Abdallahi Taleb Ethmane dit Bellahi, le président du pari de l’Alliance démocratique, a déclaré au cours d’une soirée électorale organisée à Nouadhibou que « la détention préventive de Birame Dah Abeid est injuste et politique par excellence et qu’elle est intervenue dans des conditions politiques particulières sur la base d’une plainte inappropriée du journaliste Dedde Abdallah ».
« Ne laissons pas Biram Dah Abeid seul face à ses bourreaux »
Birame et moi
Entretien avec Abdessalam Horma, président du parti Sawab
Campagne électorale : les ministres envoyés dans les « zones à risques »
Le FNDU condamne fermement les agissements anticonstitutionnels du Chef de l’Etat (Déclaration)
Campagne électorale : El Wiam réitère l’appel à l’unité nationale
La longue marche vers l’inconnu /Par Dy Ould Hasni Ould Moulaye Ismail
Afrique du Sud : le gouvernement rejette la « vision étroite » de Donald Trump sur sa réforme agraire
Mauritanie, le vice s’en prend à la vertu
Un président mauritanien sans foi ni loi, Mohamed Ould Aziz, qui devrait finir sa vie comme l’ancien chef d’Etat gambien Yayah Jameh, vient de saisir les comptes de Mohamed Bouamatou, « le Georges Soros africain » connu pour sa générosité. Continuer la lecture

Notre chroniqueur dénonce le « silence complice » des gouvernements africains face à la répression des militants des droits humains en Mauritanie. Chronique.
Comme tout nouakchottois, je rencontre Birame depuis la fin des années 1990 à Nouakchott.
Après une garde à vue prolongée, le président Birame Dah Abeid, tête liste nationale de votre parti aux prochaines élections a été déféré et écroué, le lundi. Réagissant au cours d’une conférence de presse, vous avez qualifié cette arrestation de « complot » ourdi par le pouvoir pour empêcher ce candidat d’entrer au Parlement. Pouvez-vous étayer cette accusation ? Cette situation ne risque-t-elle pas d’affecter votre campagne?
La désignation par l’Union pour la République (UPR) de plusieurs ministres à la tête de ces staffs de campagne a divisé les mauritaniens. Arguments et contre-arguments n’ont pas réussi à départager sur ce qui est maintenant un fait.
Le chef de l’Etat reprend demain sa campagne électorale en faveur de l’UPR, commencée prématurément à Néma et Kiffa et ouverte à Nouakchott. Certes, on ne peut contester à un président de la république, dans un pays démocratique, son droit d’afficher son soutien à tel ou tel parti ou à tel ou tel candidat.
Le président du parti El-Wiam, Boidiel Ould Houmeid, a réitéré son appel au renforcement de l’unité nationale, la cohésion du peuple mauritanien et à la préservation de la stabilité du pays.
La campagne qui commence prend l’allure de la présidentielle de 2019. Ou, du moins, constitue-t-elle le prélude de cette dernière? Tout semble l’indiquer. Le président en a donné le coup d’envoi par sa visite à Néma, ce 13 août, suivie de celle de Kiffa, le 14 du même mois.
Le gouvernement sud-africain a vivement reproché au président des État-Unis Donald Trump, d’alimenter les tensions raciales sur son sol. Une sortie qui fait suite à un tweet du président des États-Unis dénonçant des « expropriations » et des « meurtres de grande ampleur » visant selon lui les fermiers blancs sud-africains.