
«Le mot esclavagiste suppose que l’esclavage soit institutionnalisé ; alors que notre arsenal juridique sur ce sujet ne souffre d’aucune insuffisance. La pratique de l’esclavage est réprimée vigoureusement par les lois du pays et est considérée crime contre l’humanité», a-t-il dit.
Le président Mauritanien reconnaît toutefois «les séquelles de ce phénomène avilissant qui existent encore».
Il promet de travailler en ordre prioritaire avec fermeté pour venir à bout de cette situation. «Nous ferons de la justice et de l’égalité des chances pour tous notre principal cheval de bataille», annonce le président de la République Islamique de Mauritanie.
Source : Essahraa (Mauritanie)