Les appels pour un troisième mandat reprennent de plus belle. Au sein de l’Assemblée nationale, mais ils viennent cette fois, non pas de « ministrés » soucieux de conserver leurs postes mais de « dépités » qui veulent préserver leurs privilèges.
C’est d’autant plus inquiétant que le parlement mauritanien ne compte plus aujourd’hui qu’une seule chambre largement acquise au pouvoir, et donc susceptible de transgresser les lois qu’il est censé protéger. Lire la suite