
Note de synthèse: Le 10 décembre, la célébration, en Mauritanie, de la journée internationale des droits humains, équivaut à une comptabilité du sordide. 13 années après la chute de la dictature de Ould Taya, le passif reste un contentieux toujours en suspens. Même si la société sécrète, à présent, les ressources de sa propre immunité envers l’arbitraire et le silence, elle traine, encore, le fardeau des discriminations, de l’impunité et du déni. Les aspects retentissants de la faillite méritent, en cette date lourde de symbole, un rappel. Lire la suite