
Après l’entrée en force du parti des opprimés (Action Pour le Changement, AC) en 2001 dans la scène politique nationale et sa percée dans la capitale Nouakchott en gagnant Dar Naîm, Ryad et Sebkha ainsi que quelques capitales régionales à l’instar de Néma et Selibaby, certains idéologues ont conseillé à Maawiya Ould Sid’Ahmed Taya de mettre fin à l’existence de ce parti Continuer la lecture



Depuis quelques années, l’espace d’information mauritanien connait une réalité récurrente : des personnes qui dénoncent publiquement la corruption.