
Communication du député mauritanien, Biram Dah Abeid, devant le Comité des Droits de l’Homme, de l’Uip
Communiqué de presse : l’AG d’Armepes – GANBANAAXU du 19 janvier 2020
Un millier de Mauritaniens évacués chaque mois pour des soins en Tunisie (parlementaire)
Sommet de Londres : O. Ghazouani développe les atouts de la Mauritanie
Pouvoir/Aziz : La Guerre cybernétique
Arrestation d’un blogueur accusé de produire des clips critiques à l’égard de Ghazouani
Inégalités : les plus riches touchent les étoiles, les plus pauvres restent cloués au sol (rapport Oxfam)
Dr. Taleb Sid’Ahmed, des chaumières dénudées d’un campement d’anciens esclaves au «Panthéon de la République»
Taleb Sid’Ahmed (ici avec une vielle femme du milieu rural) durant sa mission de Chargé de Communication au Bureau de la Banque Mondiale à Nouakchott
Simple, affectueux et terriblement marqué par son parcours atypique, Dr. Taleb Sid’Ahmed qui vient d’être coopté dans le premier gouvernement de l’ère Ghazwani, est le prototype du cadre supérieur, bétonné dans les abysses de la pauvreté et qui s’est moulu tout seul au contact de la vie. Sa nomination a été unanimement saluée, car elle représente la consécration d’une bataille livrée à armes inégales à une existence qui ne lui a fait aucun cadeau. A la tête du Ministère de l’Emploi, de la Jeunesse et des Sports, il saura, si on lui en donne l’occasion, insuffler à ce département momifié par plus de dix ans d’immobilisme, le tonus qui lui manque. Lire la suite
« L’appui aveugle et sans réserve » ou cette « hypocritologie » de l’élite intellectuelle mauritanienne
La longue dictature militaire qui gouverne la Mauritanie depuis plus de quarante ans est en fait entretenue par une élite intellectuelle qui a créé une nouvelle science politique, « l’hypocritologie », qui fait des émules génération après génération. C’est même devenu un métier, avec ses directeurs de conscience, ses experts, ses stagiaires, un métier qui rapporte autant d’argent frais que celui de parent du «Président de la République » ou celui « d’obligé d’un généralissime de l’armée ». Des oisifs privilégiés qui vivent à l’œil sur le dos de la communauté, dont la volonté a longtemps été confisquée. Lire la suite