L’attentat du bar-restaurant la Terrasse avait fait 5 morts en 2015, celui de l’hôtel Radisson 22 morts, la même année. Le procès lié à ces attentats qui s’est ouvert ce matin à Bamako. Fawaz Ould Ahmed, le principal accusé, contre toute attente, est bel et bien là.
Le Mauritanien Fawaz Ould Ahmed, aussi connu sous le nom d’Ibrahim n°10, est bien présent sur le banc des accusés. Il a pu écouter les charges retenues contre lui et expliquer au juge qu’il ne « connaissait pas son avocat ».
Et c’est une véritable surprise après que de nombreux médias, à commencer par RFI, l’avaient cité parmi les plus de 200 jihadistes échangés au début du mois contre Soumaïla Continuer la lecture

Ce mardi 27 octobre 2020, l’Organisation Non Gouvernementale Internationale Médicos del Mundo – España, avec ses partenaires AMSME et ACTIONS, ont organisé un atelier de capitalisation et de coordination sur les violences basées sur le genre.
Bariki Ould Khair Allah a réussi à décrocher la seconde place à l’examen du Bac 2020 Option lettres modernes et le premier rang au niveau des wilayas de l’intérieur.
La République islamique de Mauritanie a exprimé son indignation face à l’incitation contre l’Islam et la provocation des sentiments des musulmans en proférant des insultes à l’encontre du Saint Prophète, Paix et Salut sur Lui.
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, s’en est de nouveau pris dimanche à son homologue français, Emmanuel Macron, dont de récents propos sur l’islam ont suscité critiques, manifestations et même appels au boycottage des produits français dans le monde musulman.
Les tensions entre l’Éthiopie et l’Égypte sont vives depuis plusieurs mois autour du barrage de la Renaissance (Gerd). Un conflit dont le président américain, Donald Trump, vient de raviver les braises après une déclaration guerrière.
La Turquie, l’Iran, la Jordanie ou encore le Koweït ont dénoncé la publication des caricatures du Prophète en France. Et les propos du président de la République, qui a promis de ne pas « renoncer aux caricatures », ont suscité une vive réprobation au Moyen-Orient.
Des dizaines de mauritaniens ont organisé un sit-in lundi devant l’ambassade de France à Nouakchott pour dénoncer les caricatures d’un journal français et les propos du président Macron réaffirmant qu’ils ne renonceront pas aux caricatures.
Une source judiciaire a révélé à Sahara Medias que l’enquête menée par la police chargée des crimes économiques et financiers, que les dossiers de la décennie sont arrivés à un stade avancé. 