Le 2 décembre, c’est la journée mondiale pour l’abolition de l’esclavage. Ce ne peut être une date sans écho en moi. Je fais parler mes souvenirs d’abord.
Ainsi, pendant la campagne présidentielle j’ai consacré une halte et un discours sur le sujet le 4 février 2017 dans le village de Champagney. Un village qui avait demandé en 1786 dans une lettre au roi, l’abolition de l’esclavage des noirs dans les colonies françaises. Le 4 février, c’est un jour symbolique. C’est en effet le 4 février 1794 que l’esclavage fut aboli la première fois. Continuer la lecture


Beaucoup de négro-africains sont sincèrement exaspérés par ce qu’ils croient être de l’indifférence teintée de doute, de la part de nombreux arabes sur la réalité des crimes commis par le régime de Mawiya Ould Taya, notamment les pendaisons de 1990.
Dans le cadre de la célébration de la journée internationale de lutte contre le travail forcé, ce 2 décembre 2018, le député français Jean Luc Mélenchon a apporté son soutien à Biram Dah Abeid militant anti-esclavage et député emprisonné par les autorités de Nouakchott.
Le 2 décembre 1949, l’Assemblée générale des Nations unies adoptait la « Convention pour la répression et l’abolition de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui ».
Après son transport, menotté dans une ambulance, le 26 novembre 2018, le président d’IRA – Mauritanie et député national de la coalition Rag-Sawab, Biram Dah Abeid a été ramené dans sa tente de détention, contre l’avis du responsable sanitaire de la prison.
Le Communiqué conjoint sanctionnant la visite de travail et d’amitié effectuée en Mauritanie par Son Altesse Royale le Prince héritier Mohamed Ben Selmane Ibn Abdel Aziz Al Saoud,
La présence militaire américaine en Afrique est bien plus importante que ne l’affirme le Pentagone.
Le prince héritier d’Arabie saoudite ben Salman était ce dimanche matin à Nouakchott où il s’est entretenu avec le président mauritanien.