Le 07 mars 2019 – Le Calame
La déclaration de candidature du Général Ghazouani, appréciée par les uns et décriée ailleurs, marque les esprits neutres.
Ghazouani donne ainsi la première occasion aux mauritaniens de découvrir l’homme de l’ombre, acteur discret du pouvoir militaire, de Taya à Aziz. Continuer la lecture


Le ministère de l’intérieur et de la décentralisation a notifié ce mardi à plus de 70 partis politiques leur dissolution en vertu de la loi pour leur incapacité à participer à deux scrutins successifs ou leur incapacité à obtenir 1% lors des élections auxquelles ils ont participé.
L’ancien ministre et ancien ambassadeur Yahya Ould Maknous a déclaré que l’intérêt de la Mauritanie était de normaliser ses relations avec Israël à l’époque du président Maaouya Ould Sidi Ahmed Taya.
Le ministre de la Justice, M. Dia Moctar Malal, a signé, lundi à Tunis, au nom de la Mauritanie, les conventions et protocoles interdisant le clonage humain et organisant le transport, le commerce et la greffe d’organes et tissus humains, surtout chez les femmes et les enfants ainsi que la lutte contre la piraterie maritime et le vol à main armée.
Le présent texte n’est que la poursuite d’une longue réflexion (déjà publiée en partie) sur la place du droit dans notre société et sur la place de l’armée dans nos institutions. Les deux questions semblent a priori fort éloignées, mais elles ne sont dans la réalité que les deux facettes d’une même pièce.
Le Patronat mauritanien a fait état d’efforts déployés pour convaincre les banques américaines de traiter avec leurs vis-à-vis mauritaniennes directement et sans intermédiaires.
Un certain nombre de mères d’orphelins qui étaient pris en charge par l’association caritative Al-Khair, fermée le mois dernier par les pouvoirs publics, ont organisé une manifestation devant les locaux du ministère des Affaires sociales, de l’Enfance et de la Famille pour dénoncer la fermeture de l’association et demander sa réouverture.
Au moment où une rivalité féroce est engagée entre les forces politiques du pays pour conquérir le siège du président de la république en remplacement du président Mohamed Ould Abdel Aziz, quatre partis politiques négro-africains ont décidé de présenter un candidat aux futures élections présidentielles
Selon nos informations, l’Institut du monde arabe à Paris a déprogrammé le concert de la chanteuse sahraouie Aziza Brahim après que le Maroc a fait pression pour empêcher l’artiste de se produire.