Alors que la France s’apprête, ce lundi 2 décembre, à rendre hommage aux treize militaires morts au Mali, Mondafrique revient dans une série de papiers sur les raisons qui expliquent la descente aux enfers du pays.
Si la guerre menée en Libye par la France en 2011 aura été un facteur aggravant de la situation au Mali, cette opération militaire à haut risque ne suffit pas à elle seule à expliquer la déstabilisation du Mali.




Sahara Medias a appris de ses sources propres la mise en place d’une commission présidée par le premier ministre, Ismael O. Bedde O. Cheikh Sidiya, chargée d’élaborer une nouvelle stratégie pour le parti au pouvoir qui doit être soumise au prochain congrès du parti à la fin de ce mois de décembre.
Vingt-quatre députés mauritaniens ont demandé la formation d’une commission d’enquête parlementaire destinée à faire la lumière sur des dossiers susceptibles d’avoir été affectés par des malversations pendant le pouvoir du président Mohamed O. Abdel Aziz.
Les députés mauritaniens demandent des enquêtes sur la corruption qui a marqué les deux quinquennats de l’ancien président Aziz. Lequel, sous la pression d’une grande partie des élites mauritaniennes, a renoncé à se présenter, cet été, pour un nouveau mandat.

Au quartier Tevragh Zeina de Nouakchott, vers la zone dite Bande d’Aouzou, aux environs de l’épicerie Banda, un parc a été construit pour les enfants des riverains. L’exécution du projet avait été confiée à la communauté Urbaine (CUN) de Nouakchott au profit de la mairie de tevragh Zeina.
Comme souvent et pour permettre à ceux qui ne sont pas familiers de la langue soninké de comprendre le sens de l’expression « GANBANAAXU », nous nous sommes habitués dans nos différentes communications et autres tribunes libres à définir systématiquement ce vocable, qui signifie : ÉGALITÉ EN DROIT ET EN DIGNITÉ.