Ahmedou Ould Abdallah, ancien haut responsable national et international, a été longuement reçu en audience, mardi dernier (31 décembre) par le président de la République, Mohamed Ould Cheikh Ghazouani.
Ce premier contact officiel entre les deux hommes a été, comme on pouvait s’y attendre, courtois et chaleureux. Il s’est, semble-t-il, focalisé sur les grandes questions nationales et l’environnement régional et international. Les Continuer la lecture →

L’Etat sénégalais vient d’adopter une loi de lutte contre les violences basées sur le genre et criminalise la pédophilie au Sénégal, alors que la Mauritanie a rejeté à deux reprises la loi initiée, par les organisations de la Société Civile
Il me semble qu’il s’avère plus que nécessaire, que je me penche sur mon clavier, pour apporter ma version des faits, sur ce qui s’est passé à l’Alliance Française de Nouadhibou.
Les grands dirigeants ont, depuis la nuit des temps, allié au charisme la capacité de communiquer avec aisance. La parole saine met au clair les choses, balisent les chemins empruntés et les rend lumineux.
Monsieur le Président
Il ressort des sorties véhémentes de Mohamed Ould Abdel Aziz un sentiment de frustration et de regret sur le choix porté par l’ex-président sur son désormais ancien ami Ghazouani.
L’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz s’est livré a un blogueur déclarant que lui et Ghazouani se fréquentait pendant 40 ans, il a dirigé le pays pendant une décennie et personne n’y a été victime de malheur, et quand il a régné pendant cinq mois, l’image est ce que vous voyez maintenant.
Quelques jours avant la conférence de presse de l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz, j’avais exprimé à mon collègue Ahmed Baba Ould Alati mon désir de mener une longue entrevue avec le président.
Le Conseil Supérieur de la Magistrature s’est réuni lundi dernier au palais présidentiel à Nouakchott sous la présidence de Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, Président de la République, Président du Conseil.
Les frères musulmans de Mauritanie représentés par le Rassemblement national pour la réforme et le développement «Tawassoul» dénoncent ce qu’ils décrivent comme efforts déployés par de hautes autorités du gouvernement pour contrôler et s’identifier à un parti politique particulier, comme étant un «Parti-Etat».