Vœux de nouvel an 2018

A.H.M.E. souhaite une bonne et heureuse année 2018 à ses adhérents et sympathisants ainsi qu’à tous les internautes du site www.haratine.com.

L’abolition de l’esclavage et du racisme en Mauritanie demeure une question importante. A.H.M.E. continuera le combat tant que cette problématique ne sera pas résolue.

Le site d’A.H.M.E. constitue un moyen de combat comme un autre, en vue de mettre fin à ces fléaux sociaux, que sont l’esclavage et le racisme. Il en est de même de nos publications : « L’abolition de l’esclavage en Mauritanie et les difficultés de son application », thèse soutenue en 2006 et publiée par l’ANRT (Atelier National de Reproduction des Thèses) en 2008 et « La Mauritanie, entre l’esclavage et le racisme », édition l’Harmattan, 2014.

Mohamed Yahya Ould Ciré
Président de A.H.M.E.
Site : www.haratine.com
Courriel : ahme@haratine.com

 

Esclavage : Les Oulémas ne jouent pas leur partition

Esclavage : Les Oulémas ne jouent pas leur partitionLa question de l’esclavage est une affaire qui divise les Mauritaniens. Le débat n’est plus maintenant de savoir si ce phénomène particulièrement abject se manifeste en pratiques ou en séquelles.

Aujourd’hui, il est surtout question de savoir jusqu’à où les autorités nationales et la communauté internationale sont elles prêtes à aller jusqu’à l’éradication totale d’une problématique qui a été tellement instrumentalisée au point qu’elle constitue une véritable menace à la cohésion sociale. Lire la suite

Un ex-ministre mauritanien à Salmane : «Nous ne sommes pas vos bonniches !»

Un ex-ministre mauritanien à Salmane : «Nous ne sommes pas vos bonniches !» L’ancien ministre mauritanien de l’Enseignement supérieur, le docteur Bakay Ould Abdel Malik, a demandé l’annulation d’une convention bilatérale signée entre la Mauritanie et l’Arabie Saoudite le 15 juillet 2017 à Djeddah, consistant à organiser l’exportation vers le royaume d’une main-d’œuvre féminine destinée à servir de domestiques, autrement dit pour des emplois de «bonnes» chez les riches Saoudiens. Lire la suite

Mauritanie : au 1er janvier, l’ouguiya perdra un zéro

Mauritanie : au 1er janvier, l’ouguiya perdra un zéro  Les Mauritaniens vont devoir s’adapter à un changement de leur étalon monétaire : le 1er janvier 2018, une ouguiya « améliorée » comportant un zéro de moins sera mise en circulation avec de nouveaux billets et de nouvelles pièces.

Une réforme qui n’est pas censée changer quoi que ce soit à la valeur de la monnaie. Nouvelles pièces, nouveaux billets, mais aussi nouveaux formulaires et nouveaux bulletins de salaires: au 1er janvier 2018, la Mauritanie mettra en place sa réforme monétaire, dont la mesure phare est un changement de base de 10 à 1. Lire la suite

Derrière la question patronale, il y a quoi? Par Lo Gourmo

Le  congrès du patronat s’ouvre aujourd’hui à Nouakchott. Occasion de voir la nouvelle configuration de cette instance de représentation de la très grande, de la grande et de la moyenne bourgeoisie du pays, après la « rectification » en cours depuis le Coup d’ État de 2008, dans ce secteur décisif de la vie nationale. Spécialement depuis la crise entre ce patronat (avec à sa tête M. Azizi) et le Chef de l’Etat. Lire la suite

Déclaration : Encore de la détention arbitraire

Déclaration : Encore de la détention arbitraireDepuis plusieurs semaines Moussa Ould Mkhaitiratt serait entre les mains des services de renseignement mauritaniens. Des sources proches de ce dossier affirmeraient qu’il est entre les mains de la brigade mixte de la gendarmerie de Nouakchott. D’autres sources le placeraient entre les mains de la sureté de l’État. Lire la suite

La parole libérée des anciens esclaves (3) : Venus de nulle part, ils veulent s’en sortir dignement…

La parole libérée des anciens esclaves (3) : Venus de nulle part, ils veulent s’en sortir dignement… Dans le viseur du pouvoir et faute de moyens, les organisations abolitionnistes ont du mal à mettre en œuvre de réels programmes d’appui aux anciennes victimes. « Nous faisons face à des obstacles énormes posés, en grande partie et de manière invisible, par le pouvoir », dénonce le président de SOS Esclaves, Boubacar Messaoud. Lire la suite