De Manama à Abou Dhabi, en passant par le Caire, des défenseurs arabes des droits humains ont connu une fin d’année sombre avec une série de condamnations à de lourdes peines de prison.
Dans le Golfe, deux opposants de premier plan, ont écopé lundi en l’espace de quelques heures des peines totalisant 15 ans de prison. Dimanche, la justice égyptienne a transformé en prison ferme, une condamnation à deux ans avec sursis d’une militante de la cause des femmes.
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