
Dimanche, la presse est convoquée par le retraité des nobles causes, désormais captif des dorures du makhzen depuis qu’il fait le jeu des militaires, ce qui renvoie à 2007 autant dire que cela fait plus d’une paye près d’un demi-milliard d’ouguiyas encaissé en gérant la crise politique avant de descendre du perchoir pour aller s’installer à la présidence du conseil économique et social. Lire la suite