Le Calame : Dans une déclaration récente, vous avez mis en cause la gestion, par le ministère des Affaires Islamiques, du Hadj dont le quota, censé revenir aux agences de voyage qui ont déjà fait leurs preuves, est attribué à l’Union du patronat. Comment est-ce possible ?
Mohamed Lemine ould El Alem : Tout d’abord, je remercie Le Calame de l’opportunité qu’il m’offre. Notant avec satisfaction la pertinence de sa ligne éditoriale, je le félicite aussi pour le sacrifice qu’il a consenti, cette dernière décennie, pour porter haut l’étendard de la liberté de la presse et la défense sans faille des causes justes. Quant à votre question, je voudrais faire la part des choses : le Hadj est le cinquième pilier de l’Islam et Allah Le Tout-Puissant en a rendu obligatoire l’accomplissement une seule fois dans la vie du Musulman, pour peu que celui-ci en ait la capacité matérielle et physique. Continuer la lecture


Des juges africains instrumentalisés par les pouvoirs en place, comme ce fut le cas dans la Mauritanie du président Aziz, n’ont pas conscience du rôle déterminant qui devrait être le leur dans la mise en orbite économique de leur pays. Un entretien avec Jean Baptiste Placca, chroniqueur sur RFI. 
Traitant de la stratégie mise en œuvre dans le cadre de la lutte antiterroriste au Sahel, j’ai publié, il y a de cela deux mois, un petit article dans lequel j’ai émis d’humbles réserves quant à la démarche suivie par nos forces du sahel.
Lettre ouverte adressée à la représentation nationale, aux partis politiques, à la société civile et aux hommes libres soucieux de l’Ethique et de la justice dans ce monde.

A l’instar de tous les mauritaniens, les opérateurs économiques et financiers de ce pays à cheval entre l’Afrique du Nord et l’Afrique de l’Ouest attendent beaucoup du président Mohamed Cheikh El Ghazouani.
