
Commission Nationale des Hydrocarbures: Départ de Ahmed Damou et le comeback de Bâ Ousmane

Après les nom, prénom et date de naissance, c’est le lieu de celle-ci qui situe administrativement tout individu. Sa nationalité dépend, elle, ordinairement de celle de son père. Mais sa démarche personnelle, qui va faire de lui un devenir actif et nanti de droits et devoirs croissants au sein d’une cité, plus généralement d’une commune – c’est-à-dire un citoyen, au sens ancestral du terme – n’est plus aujourd’hui considérée qu’en épiphénomène de cette nationalité. En route vers la mondialisation, on a oublié que le concret ne se développe qu’en quelque lieu, ici et maintenant… La série qui suit vous rafraîchira-t-elle la mémoire ? Lire la suite
« Plus on prend de responsabilités, plus les portes de la cité s’ouvrent », disais-je dans le premier numéro de cette nouvelle série. Et c’est tout naturellement d’abord au plus près de chez soi, dans la proximité du voisinage, au sein de la société civile localisée que cette capacité doit pouvoir se manifester. Comment ? Flash-back sur diverses possibilités d’organisation déjà présentées en ces colonnes. On partira du tandem SP-AGRC…
Beaucoup de cités en Afrique, notamment musulmane, sont dotées de quartiers où des solidarités de voisinage (1) se sont spontanément développées, mues par des liens sociaux préexistants : famille, tribu, ethnie, voisinage antérieur, etc. Elles regroupent un nombre variable mais toujours limité de foyers, entre vingt et cent – dans tous les cas, un effectif nettement en-deçà de Lire la suite
On a vu précédemment sur quelles bases, valorisant très concrètement la territorialité de la Nation dans l’organisation du voisinage de chacun, pourrait se construire une citoyenneté en actes ouverte à tous… Une telle approche débouche immanquablement sur un réexamen des relations entre citoyenneté et nationalité. C’est sur l’ébauche de celui-ci que nous clôturerons la présente série, prélude, incha Allah, à de plus approfondis débats… Lire la suite
Le journal britannique « the Guardian » a cité le film mauritanien « en attendant le bonheur » parmi les 20 meilleurs films dans l’histoire du cinéma africain.
Ce film écrit et réalisé par le cinéaste mauritanien, Abderrahmane Cissako, et tourné à Nouadhibou, dans le nord du pays, a obtenu différents prix. Lire la suite