A l’heure où le Niger de Mahamadou Issoufou sombre dans le répression aveugle des forces démocratiques, où Joseph Kabila refuse des élections qui auraient dû avoir lieu en 2016,
où Idriss Déby vient de faire voter une nouvelle constitution qui lui permettra de rester au pouvoir une quarantaine d’années, où Denis Sassou Nguesso emprisonne ses opposants, où Aziz condamne à mort ses citoyens pour apostasie et persécute les militants anti-esclavagistes, où Paul Bya, à 85 ans, se prépare pour l’élection présidentielle qui devrait avoir lieu en octobre 2018,
où Ali Bongo torture ses opposants dans un pays dirigé par un véritable système mafieux, et d’autres encore… le discours final du film de Charlie Chaplin redevient d’une actualité évidente. Lire la suite