1. Les motifs
Le groupe de travail de l’ONU chargé des peuples de descendance africaine a estimé mardi que les États–Unis devraient dédommager les descendants d’esclaves pour ce « terrorisme racial » perpétré des décennies durant.
Violences policières, regain des tensions raciales, la question de la place des Afro-Américains dans la société américaine est un des sujets brûlants du moment. En déclarant mardi 27 septembre que les États-Unis devraient dédommager les descendants d’esclaves, le groupe d’experts de l’ONU chargé des peuples d’ascendance africaine a relancé un peu plus la polémique. Continuer la lecture
Une mission du ministère mauritanien de la justice, accompagnée des détenus de l’IRA, déférés à la prison de Bir-Moghrein, devra quitter la capitale Nouakchott, ce mercredi 28 septembre courant, en direction de la wilaya de Tiris Zemmour.
Des sources indiquent que les prisonniers antiesclavagistes en attente de transfert sont : Hamadi Lehbous, Ahmed Ould Hamar Vall, Balla Touré, Abdallahi Ould Matta, Diop Amadou Tidiane, Moussa Ould Biram, Ousmane Lo, Khattry Ould Rhil, Ousmane Anne, Mohamed Ould Datty, Abdoulaye Abou Diop et Mohamed Ould Jarrallah.
Le dossier des détenus avait été déféré antérieurement, par le ministère mauritanien de la justice à la cour d’appel prés du tribunal de la wilaya de Dakhlet-Nouadhibou.
La communauté mauritanienne au Mali condamne les déclarations du président de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (Ira), Biram Ould Dah Ould Abeid.
Dans un communiqué déposé à notre rédaction, les ressortissants de la République islamique de Mauritanie au Mali dénoncent la position d’Ira qui, selon eux, incite à la discrimination raciale entre les composantes de la société musulmane et pacifique de la République islamique de Mauritanie.
Une poignée d’officiers a transformé la Mauritanie en «une vache à lait », a affirmé le président de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste en Mauritanie, Biram Dah Abeid, lors d’une rencontre à Abidjan en côte d’Ivoire avec la communauté mauritanienne. Continuer la lecture 
Tout mauritanien a le droit, pour ne pas dire le devoir, de prendre part à l’effort de lutte contre l’esclavage et ses séquelles pour combler l’énorme fossé que les gouvernement ont favorisé entre les composantes nationales depuis la nuit des temps.
Chacun a le droit de lancer son « initiative » et de se creuser les méninges pour sortir les meilleures idées mais il est inconcevable – pour ne pas dire immoral – d’ignorer le douloureux passé des hratins et, aussi, le combat mené par d’autres ainsi que leurs sacrifices. Des combats loin d’être suffisants, ou sans défauts, mais qui ont constitué tout de même le début d’un changement notoire.
إخوتي الأعزاء بيرام الداه أعبيدي وإبراهيم ولد بلال رمظان،
إني أهناكم لما أبديتم من شجاعة كما أشكركم لما بذلتم من تضحيات في سبيل قضية العبيد السابقين (لحراطين).
إن بناء موريتانيا الجديدة لن يتم بواسطة أولئك الذين يوجدون خارج الحلبة ولكن من طرف أولئك، من أمثالكم، الذين يوجدون في صميمها، في ثيابهم التي حولت العاصفة إلى ملابس رثة، في جسد شوهته الأحداث، مثل ما جاء – صياغة – لمقولة المناضل العظيم نيلسون مانديلا في شأن قضية السود. Continuer la lecture
مساهمة سريعة في تقييم النضال ضد الاستعباد في موريتانيا
لكل موريتاني الحق بل يجب عليه ( كفرض عين) أن يساهم في مكافحة العبودية و محو آثارها و ردم الهوة الكبيرة التي وضعتها الأنظمة المتعاقبة بين فئات هذا المجتمع و إثنياته، لكل الحق في أن يبادر كما يشاء وأن يحفر في ذهنه حتى يخرج أهم الأفكار المؤدية إلى رأب الصدع و تجاوز الماضي المؤلم … Continuer la lecture
Des dizaines de personnes ont organisé jeudi 22 septembre 2016 en France un sit in devant les locaux de l’Assemblée Nationale française. Les manifestants scandaient des slogans hostiles à l’arrestation et à l’emprisonnement des activistes de l’Initiative de la Résurgence Abolitionniste (IRA).
Maître Mine Ould Abdoullah est ancien diplomate. Professeur d’Université où il enseigne le droit, il est aussi, depuis plusieurs décennies, avocat d’affaires et Consultant.