
Le monde arabe et les bouleversements en perspective
Les pays arabes du Golfe en seraient les plus affectés, surtout l’Arabie saoudite qui fut le principal acteur de la mise en place du système du pétrodollar et qui, paradoxalement, va largement contribuer au remplacement de ce système, vu qu’elle ne cesse de liquider ses réserves constituées quasiment toutes en dollars, non pas pour les transformer en or physique mais pour financer son budget annuel et notamment ses dépenses militaires. Elle n’a pas d’autres choix : les bénéfices tirés de la vente du pétrole sont très limités, car son prix actuel couvre difficilement ses coûts de production ainsi que ses frais de fonctionnement ; et la tendance des prix n’est pas non plus à la hausse, selon les experts. Continuer la lecture




ue, le président français, Emmanuel Macron, a accordé un entretien exclusif à France 24 et RFI depuis l’Alliance française de Lagos au Nigeria. Compte-rendu de l’interview accordée à Claudy Siar.
Décidément ! les militants des droits humains mauritaniens sont plus que déterminés à porter leur combat à l’échelle continentale. En marge du 31e sommet de l’union africaine, activistes, droits-de-l’hommistes, ONG … ont dévoilé la face cachée de la Mauritanie.
La visite officielle que le Président français a effectuée en Mauritanie du 1er au 2 juillet a donné lieu à un communiqué conjoint la sanctionnant qui fait état du soutien de la France à l’initiative de l’Union africaine visant à assurer un financement autonome et prévisible aux opérations militaires africaines.
Une grande partie du 31e sommet de l’Union africaine en Mauritanie a été consacrée aux attaques terroristes des derniers jours. Les cinq chefs d’Etat du G5 Sahel se sont enfermés pendant deux heures avec Emmanuel Macron pour réfléchir à la réponse à apporter aux jihadistes, qui ont frappé le QG de la force conjointe du G5, vendredi 29 juin à Sévaré, au centre du Mali.
Un homme, la quarantaine dépassée, s’est immolé, ce matin, du mardi 3 juillet, devant les locaux de la Banque Centrale de Mauritanie (BCM), situés, à quelques pas du palais présidentiel, rapportent des sources.
Vingt pour cent de la population vivent sous le joug de l’esclavage en Mauritanie. Définitivement aboli depuis 1981, « cet asservissement se poursuit, sous toutes ses formes : racisme anti-noir, extrémisme religieux.