La ministre des Affaires Sociales, de l’Enfance et de la Famille est atypique à tout point de vue. En effet, Mme Marième Mint Bilal Saleck, mécanicienne de formation sortant de Syrie, parachutée dans le gouvernement par on ne sait quel hasard ou jeu de loterie politicienne, refuse tout contact avec ses administrés, ses fonctionnaires, et même ses plus proches conseillers. Continuer la lecture →Boubacar Messaoud évacué en France

Le président de SOS-Esclaves Boubacar Messaoud a été évacué mercredi 27 février en France pour suivre des soins qu’il a commencés au Centre National de cardiologie où il a séjourné pendant trois semaines. Un mois auparavant, Boubacar Messaoud a passé une vingtaine de jours au Maroc dans un hôpital de Rabat. Continuer la lecture
Les novices au gouvernail /Par El Wely Sidi Heiba

Ils sont forts étonnants les placements et équilibres tribaux persistants qui s’opèrent, depuis toujours, sur un échiquier politique s’entêtant et persévérant, malgré cinquante-huit années d’indépendance, à vouloir rester médiéval aux goûts amers de l’injustice et couleurs ternes des considérations de la grande «Seiba». Continuer la lecture
Quand Paul Marty prend ses aises avec un pan de notre Histoire : Hamid Ben Alhoussein réagit

Hamid Ben Alhoussein, décédé le 14 février dernier, était un intellectuel accompli, de très grande culture, mais surtout de très grande modestie et discrétion. En septembre 2011, il avait adressé une lettre à un de ses amis (Marc Vaution, Agrégé de Lettres) qui traite des écrits de Paul Marty à propos des relations des Ahel Cheikh Sidi Ali ben Najib avec les Kountas.
Le Calame publie cette lettre, en sa mémoire et comme témoignage même très court sur un point particulier de notre Histoire. Continuer la lecture

« Même si Ghazwani a une amitié quasi- fusionnelle avec son ami Aziz, cela ne veut pas dire qu’il est obligé de maintenir le statu quo ».
Avec le départ massif à la retraite ou pour d’autres raisons de la vieille école, celle qui a longtemps fait la fierté de la police nationale et de la gendarmerie, et avec l’arrivée d’une nouvelle génération de têtes peu formées, peu expérimentées et peu consciencieuses, les gangs et autres bandes criminelles se la donnent à cœur joie, livrant Nouakchott à une criminalité contre laquelle butte nos traqueurs endimanchés. Résultat, des dossiers de crimes, cambriolages, viols et autres larcins non élucidés.
Les prédictions faites l’année dernière concernant l’importance grandissante des rivalités entre grandes puissances résonnent encore à nos oreilles.
Roger Bésus disait : « L’élite n’a pas sa place dans la cité, si elle n’est pas d’abord conscience. Elle doit être en parties égales, un veilleur et un éveilleur. Si donc il convient, le débat s’institue entre les pouvoirs et les autres, son rôle n’est pas de le passionner mais d’y introduire la raison.
Durant la soirée du 10 février 2019, la marine nationale cible, en pleine mer, une pirogue avec, à son bord, 21 pêcheurs, tous ressortissants de Ndiago (frontière sud-ouest), de nationalité mauritanienne. Les marins enjoignent, au capitaine de l’embarcation, Assan Dieye, de la quitter pour rejoindre leur navire.
Le chef du parti AJD/MR et ancien candidat à la présidence, Mokhtar Sarr Ibrahima, a lancé une violente attaque contre les autorités mauritaniennes, accusant les détenteurs du pouvoir actuel, de marginaliser la composante négro africaine du pays et sa culture, ainsi que les anciens esclaves, puis éventuellement en ciblant Al-Bidhan ( les maures) ultérieurement.