1) Sghaïr ould M’bareck, ancien premier ministre de Ould Taya, appartenant à la tendance authentique d’EL HOR ( les haratine qui revendiquent l’arabité).
2) Mohamed ould Haïmer, ancien ministre et ancien secrétaire général du Sénat de Mauritanie, appartenant à la tendance authentique d’EL HOR ( les haratine qui revendiquent l’arabité).
3) Achour ould Samba, ancien secrétaire général de plusieurs ministères, appartenant à la tendance authentique d’EL HOR (les haratinequi revendiquent l’arabité).
4) Mohamed ould Boïlil, ancien gouverneur de région.
5) Bilal ould Werzig, ancien ambassadeur et aujourd’hui ambassadeur au Yémen. L’intéréssé avait nié en 1997 l’existence de l’esclavage en Mauritanie en tant qu’ambassadeur de Mauritanie au Etats-Unis d’Amérique (Washington) devant la sous-commission des affaires étrangères du pays d’accueil ( voir Cotton Samuel, Terreur Silencieuse, un voyage dans l’ esclavage contemporain en Afrique, 1998, Ed. Harlem River Press, chapitre 7 pages 129 et suites).
6) Alioune ould Awbeck, ancien maire de Tékane et député de R’kiz. Il a joué un rôle important dans la déportation des Noirs en 1989. Dans la législature 2001-2005 sous le régime de Ould Taya, il a servi le PRDS (Parti Républicain Démocratique et Social) en s’en prenant à Messaoud ould Boulkheïr. Il ne venait aux séances de l’Assemblée Nationale de Mauritanie que lorsque Messaoud ould Boulkheïr faisait partie des intervenants. Il devrait face à celui-ci défendre la thèse officielle sur l’esclavage : la négation de celui-ci. Cette attitude s’incrit dans ce que j’ai appelé l’esclavage politique ( voir le Cri du Hartani n°1 : Ould Ciré ). Il a été le principal informateur du système Taya dans le Sud du Trarza.
7) Omar ould Awbeck dit Omar Fall, ancien secrétaire général du Ministère de l’Intérieur ( 1986-1990 ). Il a lui aussi joué un rôle important dans la déportation des Noirs en 1989, tant au niveau national qu’au niveau local ( Commune de Tékane). Il a servi son ancien maître Gabriel Cymper (Jibril ould Abdallahi, ancien ministre de l’Intérieur). Omar Fall est un complexé. Tantôt, il se dit Peulh, tantôt Wolof alors qu’il est un Hartani de père et de mère. Il a revendiqué sa haratinité d’une manière opportuniste et ce, pour avoir un poste politique. Il fut l’ un des artisans des crimes de Taya et de Gabriel Cymper. Il pourrait être traduit devant un tribunal international.
8) Mohamed Lemine ould Ahmed, ancien ministre de la Justice en 1998, période où l’Etat mauritanien a condamné à cinq ans de prison Sidi Fall pour détournement de deniers publics alors que celui-ci avait bénéficie de trois non-lieues. Mohamed Lemine ould Ahmed a été en 1992 le directeur de campagne de Ould Taya lors de l’élection présidentielle de la même année. Né à Beguëmoun (Commune de Tékane), il a été chassé par ses propres parents alors qu’il était venu soliciter les voix des habitants de son village natal. A R’kiz, il a soutenu la politique de Mohamed ould Mohamed Aly, maire de cette ville où son frère était adjoint de 1988 à 2005, alors que les haratine sont majoritaire dans cette ville et devraient être à la tête de cette mairie. Mohamed Lemine ould Ahmed a cautionné une politique de collaboration au niveau local et national dans laquelle les Haratine étaient perdants.
Mohamed Lemine ould Ahmed est le premier haratine a soutenir un mémoire de maîtrise à l’Université de Dakar portant sur l’abolition de l’esclavage en Mauritanie en 1983. Plusieurs fois ministre, il n’a pas appliqué les idées défendues dans son mémoire.
9) Bazeid ould Bowah, conseiller au ministère des affaires étrangères de Mauritanie.
10) Mohamed Salem ould Merzoug, plusieurs fois ministre initiateur de la fantaisiste commission nationale pour l’éradication des séquelles de l’esclavage en Mauritanie (CNESEM)
11) Sid’Ahmed ould Zahav, plusieurs fois ministre avant qu’il ne rétrograde en Directeur de l’Office National du tourisme sous Taya dont il fut un parmi ses plus grands hauts parleurs.
12) Cheikh Saad Bouh ould M’bourou, ex-ministre de Taya avant qu’il ne soit son ambassadeur au Sénégal.
13) Mohamed ould Manzä, ancien député
14) Mohamed ould Elmamy, ex-député
15) Mohamed Lemine ould Chrive, ex-député
16) Mohamed ould Guelaye, ex-caissier du Sénat
17) Sidi ould Youwme, ex-gendarme et ex-député avant qu’il ne soit nommé comptable à l’ambassade de la Mauritanie aux Etats Unis d’Amérique
18) Omar ould Matalla, ex- maire de Riyadh
19) Mohamed Vall ould Youssouf, actuel directeur adjoint de la Socogim
20) El moudir ould Bounna, ex-éphémère ministre de l’enseignement originel
21) Moulid Fall, (belle-mère de El moudir ould Bounna et de Mohamed Vall ould Youssouf)
22) Ahmed ould Khattri Article n° 81
23) Vatimetou mint Khattri Article n° 81
24) Mohamed ould Mohamed El Abd, conseiller à l’ambassade de Mauritanie à Paris
25) Boubeckrine Ould Khourou , un hartani, esclave de service ; Préfet de R’kiz
26) Mohamed ould Bilal, ancien ministre
27) Sidiya ould Ahemdi
28) Med Aballahi Ould Mohamed Salem
29) Mohamed ould Deyssi
30) Mohamed Yeslem Ould Yarba
31) Aichetou Mint Oudeia
32) Aichetou Mint El Moctar
33) Abdy Ould Hamallah
34) Mohamed Ould Brahim Ould Beilil
35) M’Beirick Mint M’Bareck
36) Abidine Ould ElKheir, ministre de la Justice de Mauritanie Communiqué 382
37) Ahmedou Ould Blal, immigré en France Cri du Hartani n°3
38) Yarbe Ould Skhair Communiqué n°84