CONTEXTE GÉNÉRAL :
Si l’on prend comme points de repères les indicateurs de contre-performance suivants : « une administration inefficace comportant des procédures longues et compliquées est souvent incapable d’offrir des services de qualité aux citoyens (i) ;
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Le titre parle de UN Watch, une des rarissimes ONG à se battre pour les minorités opprimées par l’ONU elle-même en accord avec des Etats totalitaires et/ou impérialistes qui imposent leur pouvoir sur des peuples qu’ils oppriment, par exemple, les Tibétains exterminés par la Chine, les peuples amazighs sévèrement discriminés et dont la culture est effacée par les Etats du Maghreb, les Noirs esclavagés et exterminés par la Mauritanie, l’Arabie Saoudite, le Soudan, etc., les Chrétiens et les Juifs dans presque tout le Proche et Moyen Orient (à l’exception d’Israël), les Baha’is par l’Iran et par certains pays arabes, les génocidés niés par ceux qui les ont exterminés, comme les Arméniens par la Turquie, les Juifs par beaucoup dans le monde (mais non par l’Allemagne qui a puni, reconnu et réparé au mieux de ses possibilités, contrairement à l’Autriche !), les Tutsis par les Hutus aidés par la France et par l’Eglise, les « intouchables » en Inde, les victimes de tous les extrémistes religieux et les femmes dans presque tous les pays, pour ne nommer que les plus connus avec toutes mes excuses aux autres.
Il est donc dit que UN Watch incite les dirigeants mondiaux qui seront présents à amnistier leurs prisonniers politiques à l’occasion du 10ème anniversaire du Conseil des Droits Humains de l’ONU. Le texte du bref appel suit.

Traduction partielle en français de Bernice Dubois