Alors que le Burkina Faso est en deuil après deux terribles attaques djihadistes (près de 50 mort au total), le Quai d’Orsay s’est contenté d’un communiqué très laconique de quelques lignes.
Une première attaque, menée mardi 24 décembre à Arbinda, près de la frontière malienne.a provoqué la mort de trente-cinq civils, dont trente et une femmes. Sept militaires (quatre soldats et trois gendarmes) ont été tués dans cet assaut armé non revendiqué,
La commune rurale d’Arbinda, située à 90 km de Djibo, chef-lieu de la province du Soum, et Lire la suite