
Si les compagnies engagées dans l’exploitation des énergies fossiles sont en première ligne en termes de responsabilité dans le réchauffement climatique, les banques elles, constituent la partie immergée de l’iceberg. Malgré l’urgence de la situation et l’impératif global de trouver des solutions en recourant aux énergies plus propres, elles continuent d’injecter des flux financiers énormes dans la production de pétrole, de gaz et de charbon. Dans leur rapport « Miser sur le chaos climatique », plusieurs ONG de défense de la nature décortiquent l’apport des institutions financières à la poursuite des opérations fossiles, afin de mieux quantifier leurs responsabilités.
« Hypocrisie »
Publié le mois dernier, le rapport « Miser sur le chaos climatique » passe à la loupe l’appui des 60 plus grandes banques commerciales et d’investissement du monde, aux Lire la suite