Ould Bellal : ce que nous voyons de glorification et culte de l’armée à la télévision dépasse les limites

Ould Bellal : ce que nous voyons de glorification et culte de l’armée à la télévision dépasse les limites  Le président de la Commission électorale indépendante (CENI) Mohamed Val Ould Bellal a déclaré que : « Ce que nous avons vu, depuis une semaine, de glorification, de louange, de révérence et d’estime pour les armes et l’adoration de l’armée, sur la télévision officielle mauritanienne, a dépassé les limites du raisonnable ». Lire la suite

En Mauritanie, ces femmes en servitude (En images)

En Mauritanie, ces femmes en servitude (En images) Bien que l’esclavage ait été officiellement aboli en 1981 par l’Etat mauritanien, et érigé en infraction en 2007, puis en crime contre l’humanité en 2012, l’esclavage dit  » traditionnel  » et la discrimination à l’égard de la caste des Haratines de Mauritanie sont encore monnaie courante.
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Contre l’esclavage. Pour la liberté de Biram Dah Abeid

Contre l’esclavage. Pour la liberté de Biram Dah AbeidLe 2 décembre, c’est la journée mondiale pour l’abolition de l’esclavage. Ce ne peut être une date sans écho en moi. Je fais parler mes souvenirs d’abord.

Ainsi, pendant la campagne présidentielle j’ai consacré une halte et un discours sur le sujet le 4 février 2017 dans le village de Champagney. Un village qui avait demandé en 1786 dans une lettre au roi, l’abolition de l’esclavage des noirs dans les colonies françaises. Le 4 février, c’est un jour symbolique. C’est en effet le 4 février 1794 que l’esclavage fut aboli la première fois. Lire la suite

L’intervention de l’honorable députée Coumba Dada Kane lors de la plénière du 03 décembre 2018

L'intervention de l'honorable députée Coumba Dada Kane lors de la plénière du 03 décembre 2018

 

Monsieur, le Président

Monsieur le Ministre

Chers collègues députés

Un député menotté comme un bandit de grand chemin.

C’est une image qui a choqué plus d’un mauritanien suscitant, incompréhension et indignation, même au-delà de nos frontières. Pour les militants des droits de l’homme, c’est le paroxysme de l’infamie et de l’ignominie.
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