Droit de réponse à Doudou Elimane Diabira, un sauvage féodal soninké ivre de haine qui s’est permis de traiter les haratine de « brutaux et sauvages ».

Plus que consternant, quand Biram dénonce la barbarie féodale dans les villes et villages du sud, ils s’en prennent à toute la communauté haratine. Comment comprendre dans son charabia, un féodal soninké ivre à mort par la haine signant des diatribes au nom  de Diabira  se permet de traiter les haratine de « brutaux et sauvages » ? Est ce que dans son discours, Biram s’est adressé à l’ensemble des haalpoulars, soninkés, haratines, maures, wolofs ou aux féodaux esclavagistes qui sèment la terreur dans les communautés noires y compris les haratines?  Pourquoi cette passivité du pouvoir face à ces énergumènes qui se croient au dessus de la loi éternellement? On comprend Biram ait mis le doigt là ou ça plus mal, nous entendons les hurlements de douleurs des féodaux, reconnaissons la féodalité noire représente le virus Ebola du siècle qui détruit le tissu sociétal de nos sociétés malgré l’ivresse manifeste d’amertume de certains complexés nègres.

Doudou Elimane Diabira :  « Cher Biram, c’est toi qui a des ambitions politiques, alors c’est toi qui a besoin du soutien de la communauté Soninkée, wolof, Pulaar et Maure, si tu veux changer les mentalités, et les comportements, je te demande de t’en prendre autrement, sans continuer à ternir l’image du hartin connu avant pour sa brutalité, sa sauvagerie etc… »Lien : http://www.cridem.org/C_Info.php?article=662321

Est ce qu’avoir des ambitions politiques, ouvrent droits aux injures sur toute la communauté haratine? Est-il interdit d’avoir des ambitions politiques dans un pays où les féodaux se croient sur un terrain conquis d’avance?

Monsieur Diabira  n’avait il pas lu que Monsieur Abeid dit clairement qu’il n’a pas besoin le soutien des féodaux nègres ? Pourquoi ces gens se permettent de parler au nom de toutes les communautés alors qu’ils ne sont qu’une infime minorité sans importance au sein de ces communautés ? En quoi peut-on lire dans les propos de Biram qui généralisent ? Sans le soutien des différents pouvoirs esclavagistes, féodaux, est ce que cet homme osera insulter toute une communauté gratuitement comme si rien ne s’est passé ?

Voici Les propos qu’on prête à Biram sont là alors :

« Pour moi l’esclavage et la féodalité n’ont pas de couleur », a-t-il dit avant d’ajouter «et il y a des féodaux et des esclavagistes parmi les Soninkés, les H’ratines, les Pulaars, les Wolofs, lesquels sont esclaves des maures, rampent devant les maures à cause de l’argent, à cause des postes, à cause de la peur, mais qui une fois au village ou devant les autres Noirs se considèrent comme des personnes supérieures. Je leur dis vous n’êtes rien du tout, vous ne venez de rien, vous n’êtes rien, vous ne pouvez rien et vous ne seriez rien. Ils sont esclaves ici dans les bureaux … avec les maures et quand ils partent au village, ils disent nous sommes supérieures, ce sont des ordures »

Eh  oui tout le monde sait ce qui est dit ici reflète la vérité alors qu’un certain Diabira s’en ivre de haine, on s’en félicite vivement. Ceci est un signe avant coureur du début de la fin des privilèges illégaux des féodaux dans les villes et villages du Sud.

Mohamed Ould Boudha- IRA-Mauritanie
mohamed_ouldboudha@yahoo.fr

Lettre de M. Diabira à Biram Ould Dah

Droit de réponse à Doudou Elimane Diabira, un sauvage féodal soninké ivre de haine qui s’est permis de traiter les haratine de « brutaux et sauvages ».

 Plus que consternant, quand Biram dénonce la barbarie féodale dans les villes et villages du sud, ils s’en prennent à toute la communauté haratine. Comment comprendre dans son charabia, un féodal soninké ivre à mort par la haine signant des diatribes au nom  de Diabira  se permet de traiter les haratine de « brutaux et sauvages » ? Est ce que dans son discours, Biram s’est adressé à l’ensemble des haalpoulars, soninkés, haratines, maures, wolofs ou aux féodaux esclavagistes qui sèment la terreur dans les communautés noires y compris les haratines?  Pourquoi cette passivité du pouvoir face à ces énergumènes qui se croient au dessus de la loi éternellement? On comprend Biram ait mis le doigt là ou ça plus mal, nous entendons les hurlements de douleurs des féodaux, reconnaissons la féodalité noire représente le virus Ebola du siècle qui détruit le tissu sociétal de nos sociétés malgré l’ivresse manifeste d’amertume de certains complexés nègres.

Doudou Elimane Diabira :  « Cher Biram, c’est toi qui a des ambitions politiques, alors c’est toi qui a besoin du soutien de la communauté Soninkée, wolof, Pulaar et Maure, si tu veux changer les mentalités, et les comportements, je te demande de t’en prendre autrement, sans continuer à ternir l’image du hartin connu avant pour sa brutalité, sa sauvagerie etc… »Lien : http://www.cridem.org/C_Info.php?article=662321

Est ce qu’avoir des ambitions politiques, ouvrent droits aux injures sur toute la communauté haratine? Est-il interdit d’avoir des ambitions politiques dans un pays où les féodaux se croient sur un terrain conquis d’avance?

Monsieur Diabira  n’avait il pas lu que Monsieur Abeid dit clairement qu’il n’a pas besoin le soutien des féodaux nègres ? Pourquoi ces gens se permettent de parler au nom de toutes les communautés alors qu’ils ne sont qu’une infime minorité sans importance au sein de ces communautés ? En quoi peut-on lire dans les propos de Biram qui généralisent ? Sans le soutien des différents pouvoirs esclavagistes, féodaux, est ce que cet homme osera insulter toute une communauté gratuitement comme si rien ne s’est passé ?

Voici Les propos qu’on prête à Biram sont là alors :

« Pour moi l’esclavage et la féodalité n’ont pas de couleur », a-t-il dit avant d’ajouter «et il y a des féodaux et des esclavagistes parmi les Soninkés, les H’ratines, les Pulaars, les Wolofs, lesquels sont esclaves des maures, rampent devant les maures à cause de l’argent, à cause des postes, à cause de la peur, mais qui une fois au village ou devant les autres Noirs se considèrent comme des personnes supérieures. Je leur dis vous n’êtes rien du tout, vous ne venez de rien, vous n’êtes rien, vous ne pouvez rien et vous ne seriez rien. Ils sont esclaves ici dans les bureaux … avec les maures et quand ils partent au village, ils disent nous sommes supérieures, ce sont des ordures »

Eh  oui tout le monde sait ce qui est dit ici reflète la vérité alors qu’un certain Diabira s’en ivre de haine, on s’en félicite vivement. Ceci est un signe avant coureur du début de la fin des privilèges illégaux des féodaux dans les villes et villages du Sud.

Mohamed Ould Boudha- IRA-Mauritanie
mohamed_ouldboudha@yahoo.fr

 

Lettre ouverte à Son Excellence monsieur Biram Ould Abeid (son rêve)

Dodou elimane Diabira –« Les tragédies de l’histoire révèlent les grands hommes; mais c’est toujours les médiocres qui les provoquent. » Thomas SankaraJe ne veux pas te faire rire, ni te faire pleurer. Je ne te connais pas individuellement, mais je t’aime collectivement, pour l’instant.Cher Biram, un leader négatif à besoin de pouvoir, de contrôle. Il peut aussi souffrir d’un manque de confiance en soi, en ses propres qualités. Il peut également agir par ressentiment envers un groupe suite à une frustration.Il s’oppose à l’autorité, se dispute continuellement, il argumente sans cesse, enfreint délibérément les règles et les consignes. Il ne répond pas aux demandes, refuse de participer, il met en doute l’autorité et accepte difficilement le changement. Il n’accepte pas les compromis, il est irritable.  Lire la suite

Anciens Esclaves Nouveaux Citoyens : Communiqué

Anciens Esclaves Nouveaux Citoyens : CommuniquéAENC – L’ONG Anciens Esclaves Nouveaux Citoyens organise pour la deuxième année consécutive une journée de solidarité avec les enfants issus de familles vulnérables, des centaines d’enfants des deux sexes qui ne connaissent pas le chemin de l’école pour la seule raison qu’ils constituent les principaux supports de leurs vulnérables familles au profit desquelles ils s’emploient aux service de mendiants aveugles et handicapés qu’ils conduisent sur les lieux de mendicité et/ou, à la collecte de matériaux de récupération dans les dépôts d’ordures etc.  Lire la suite

L’Edito du Calame : Non-diplomatie

 Deux ambassadeurs rappelés par ci, un chargé d’affaires sommé de rentrer, dare-dare, par là, deux comptables convoqués de toute urgence. La diplomatie mauritanienne a connu une semaine tourmentée.
On savait certains de nos« diplomates » indélicats,« nantis » de relations « particulières » avec l’argent du contribuable, mais on n’aurait jamais pensé, en cette période de guerre contre la gabegie si chère à notre guide éclairé, qu’ils iraient jusqu’à faire main basse sur de telles importantes sommes, sans prendre la peine de respecter un semblant de procédure.  Lire la suite

Mr Baba ould Ahmed Fall : licencié par l’ambassade d’Amérique et le tribunal du travail rejette sa plainte

Mr Baba ould Ahmed Fall : licencié par l’ambassade d’Amérique et le tribunal du travail rejette sa plainteMonsieur Baba Ahmed Fall réclame ses droit à l’ambassade d’Amérique en Mauritanie suite à son licenciement après un an et demi de travail comme agent de sécurité au niveau de l’ambassade alors qu’il avait signé un contrat à duré déterminé (CDD) de 10 ans en 1997. Lire la suite

Une résolution adoptée par le conseil de la ville de Chicago, dans l’état de l’ Illinois Présenté par Alderman James Cappleman, le 10 septembre 2014

Une résolution adoptée par le conseil de la ville de Chicago, dans l’état  de l’ Illinois
Considérant que, la ville de Chicago et  l’État de l’Illinois ont une longue et glorieuse histoire de soutien de l’abolition de l’esclavage :

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Lettre ouverte au monde musulman

Cher monde musulman, je suis un de tes fils éloignés qui te regarde du dehors et de loin – de ce pays de France où tant de tes enfants vivent aujourd’hui. Je te regarde avec mes yeux sévères de philosophe nourri depuis son enfance par le taçawwuf(soufisme) et par la pensée occidentale. Je te regarde donc à partir de ma position debarzakh, d’isthme entre les deux mers de l’Orient et de l’Occident! Lire la suite

Question du député Pascal Popelin relative à l’esclavage en Mauritanie

                 ASSEMBLÉE NATIONALE FRANÇAISE

 

14e législature
Question n° : 64167 de M. Pascal Popelin (Socialiste, républicain et citoyen – Seine-Saint-Denis)

Question écrite
Ministère interrogé > Affaires étrangères                             Ministère attributaire > Affaires étrangères
Rubrique > politique extérieure                                                   Tête d’analyse > Mauritanie
Analyse > esclavagisme. lutte et prévention
Question publiée au JO le : 16/09/2014

 

Texte de la question

M. Pascal Popelin attire l’attention de M. le ministre des affaires étrangères et du développement international sur la persistance des situations d’esclavagisme en Mauritanie. Travail non rémunéré, traite d’êtres humains, sévices physiques et sexuels, telle est la réalité vécue notamment par les Haratines, communauté qui demeure l’objet d’une domination violente. Bien que l’arsenal juridique visant à éradiquer ces pratiques dans le pays soit abondant, plusieurs rapports établis par des organismes indépendants, observant les situations de non-respect des droits de l’Homme dans le monde, confirment malheureusement le retard qu’enregistre la Mauritanie dans ce domaine. Au regard de ce contexte et des liens particuliers qui unissent la France et la Mauritanie, il souhaiterait avoir connaissance des initiatives qui pourraient être engagées pour accompagner l’application d’une abolition effective de l’esclavage dans cet État.