Il y a une erreur dans la traduction des propos de Sidi Mohamed Ould Boubacar, candidat à la présidentielle du 22 juin 2019 concernant la langue arabe. Nous nous en excusons.
Le candidat n’ a pas dit : « Il n’est pas raisonnable que l’Administration (mauritanienne) soit dans une autre langue qui n’est pas l’Arabe. Cela est contraire à la Constitution » Continuer la lecture

Ceci constitue l’« un des meilleurs chiffres de ces vingt dernières années », se félicite la ministre française des Armées Florence Parly.

Il faut que le prochain président mauritanien s’attaque de toute urgence à la situation déplorable du pays en matière de droits humains en adoptant une position plus ferme à l’égard de l’esclavage, de la traite des êtres humains et des attaques contre le droit à la liberté d’expression, y compris les manœuvres d’intimidation et le harcèlement visant les défenseurs des droits humains qui dénoncent la discrimination, ont déclaré Amnesty
Le terrorisme violent, qui endeuille et traumatise la région sahélo-saharienne depuis 2005, n’est pas un thème de la campagne présidentielle qui a lieu en Mauritanie.
A l’issu du scrutin du 22 juin 2019, le président sera celui que le camp de la majorité actuelle aura choisi.
Quatre des cinq candidats de l’opposition en Mauritanie ont averti des risques de « hold-up » électoral lors de l’élection présidentielle du 22 juin Les principaux candidats aux Présidentielles mettent en garde contre la tentattion du pouvoir mauritanien de falsifier les résultats.
Sur ordre du Conseil militaire, les soldats soudanais sont intervenus lundi contre le sit-in réuni depuis le début d’avril devant le quartier général de l’armée. Après le départ d’Omar Al-Bachir, les manifestants réclament le transfert du pouvoir aux civils.