Depuis les révélations contradictoires et pleines de non vérités selon des sources proches du parti de la majorité parlementaire Union Pour la République (UPR), Mohamed ould Abdel Aziz, l’ex-président du pays est cloué au sol par celui-ci.
Le parti ne veut plus entendre parler de lui. Et comme première décision, apprend-on, toutes ses photos ont été retirées du siège de ce parti. Aziz est aujourd’hui voué aux gémonies tant par Continuer la lecture →

Ganbanaaxun, voici un mouvement extrémiste Soninké créé de toutes pièces par des mauritaniens résidents à l’étranger pour perturber la quiétude sociale qui a prévalu jusque-là dans nos villages.
Les incessants remous survenus sur la scène politique depuis le retour au pays de l’ex-président Mohamed Ould Abdel Aziz au centre desquels se placent les deux hommes qui se sont passés les clés du palais brun, donnent de plus en plus des signes d’une passation de service mal réglée.
L’ancien président de la République islamique de Mauritanie, Mohamed Ould Abdel Aziz, a mis en garde contre la tentation pour l’Union Pour la République (UPR, au pouvoir) de s’ériger en Parti-Etat, estimant qu’une telle démarche serait une menace pour la démocratie mauritanienne.
Depuis le début de cette année, la lutte de l’Angola contre la corruption a permis de récupérer plus de cinq milliards de dollars américains d’actifs aux niveaux local et international, a rapporté mardi l’agence de presse nationale angolaise ANGOP. Ayant vécu une situation de transfert de pouvoir presque à l’identique de ce pays, la Mauritanie pourrait bien continuer à suivre le même processus ! 

En visite au Niger ce dimanche, le président français a appelé les pays de la zone à redéfinir «plus clairement les objectifs» à l’occasion du sommet de Pau le 13 janvier.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a déclaré samedi sur TV5 que le G5 Sahel souhaitait « un partenariat respectable et respectueux », en pleine polémique avec Paris avant un sommet, le 13 janvier en France, consacré à la dégradation de la situation sécuritaire dans la région.
Lors d’une conférence de presse donnée à Abidjan (Côté d’Ivoire) en compagnie du président ivoirien Alassane Ouattara, samedi 21 décembre, le président français Emmanuel Macron a estimé que le colonialisme avait été une « faute de la République ».