
Réagissant au scandale de la BCM et à une série de cambriolages d’institutions étatiques Oumar Yali n’y va pas de main morte. L’ancien ministre de l’hydraulique et de l’énergie sous Sidi Ould Cheikh Abdellahi a déclaré, ce jeudi 9 juillet,au cours d’une conférence de presse qu’’ici, chez nous, en Mauritanie, nous avons
été et de longue date, habitués aux opérations frauduleuses de toutes catégories et de toutes envergures, à l’escroquerie la plus voyante, à la malversation, au mensonge, aux Continuer la lecture

Officiellement, c’est sur une visite inopinée, que le pot aux roses aurait été découvert. Plus de 2 millions en euros et dollars, détournés. Un trafic de liasses de billets, de faux billets et un jeu sur les liasses fiduciaires.
Dans une résolution prise récemment, le Comité des Nations Unies pour les Droits de l’Homme des Parlementaires (CDHP) considère que la plainte concernant la situation de Biram Dah Abeid est recevable en vertu de la section I 1(a) de la Procédure d’examen et de traitement des plaintes (Annexe 1 des règles et pratiques révisées du CDHP) et se déclare compétent pour examiner les violations alléguées, survenues après l’élection de celui-ci au poste de député.
Des informations relayées par des sites d’informations physiques ou numériques ont distribué il y’a quelques jours une information selon laquelle, le Ministère mauritanien de la Culture, de l’Artisanat et des Relations avec le Parlement, en charge des relations avec les médias a convoqué quatre représentants de médias internationaux pour les mettre en garde contre « la manière » de couvrir des sujets pouvant « troubler » la paix sociale.
La victime de maltraitances infligées devant témoins et sans le secours d’aucun, est de nationalité malienne ; elle se nomme Modiba Doumbia, marabout-féticheur de son état, installé depuis 11 années dans le village de Dafort; il étendait aussi ses exploits discrets à l’intérieur du département de Ould Yengé, région du Guidimakha, au sud-est de la Mauritanie.
Le député Boidjel O. Houmeid a demandé la constitution d’une commission parlementaire pour faire la lumière sur le scandale de la banque centrale de Mauritanie à l’origine de la disparition de près d’un million d’euros et plus de 500 millions de dollars.
La police judiciaire mauritanienne a mis la main sur six individus qui auraient participé au rocambolesque vol de devises dans les coffres les mieux gardés du pays, ceux mêmes de la Banque centrale. Le montant subtilisé passe d’un à près de deux millions de dollars et demi. 