Le 20/12/2019 – Mariem Houssein BABY

Victime d’une injustice des plus écœurantes par mon élimination injustifiée du concours des inspecteurs de la douane du 20/07/2019, les auteurs de ce forfait à présent démystifiés, se font aider par ceux qui en sont les bénéficiaires pour mener contre moi une odieuse campagne de diffamatoire. Continuer la lecture

Cette réflexion sur le combat noire en Mauritanie n’est pas exhaustive, je ferai l’économie de certains aspects événementiels de cette lutte, sur les quels peut être je reviendrai en détail dans une autre contribution.
Mohtar Ould Ahmed : « Une compétence au service de la nation, une humilité pour servir la vie et l’intérêt publics. Un mauritanien pour tous. Saloum est ce prototype d’homme dont la Mauritanie a besoin. Cet homme, je l’ai connu voilà 27 ans et quelques mois ; chaque jour il me surprend positivement. »
Nous avons eu connaissance d’une note adressée aux hautes autorités Mauritaniennes, note rédigée par Dicko Hanoune depuis la France. Un natif pur produit du Guidimakha, Secrétaire Général de l’Association des Haratine de Mauritanie en Europe.
Nouadhibou, la perle du Nord, souffre de nombreux problèmes structurels. Ils sont tous liés à ses principales activités traditionnelles, pêche en tête, qui en firent longtemps la destination privilégiée des Mauritaniens accourus des quatre coins du pays.
Un pêcheur de la localité de N’Diago, dénommé Assane Abdoul Aziz Dieye a été atteint à la jambe d’une balle, tirée par une équipe de la marine mauritanienne, le 10 février, affirment des pêcheurs de cette localité. La victime est depuis, hospitalisée, à l’hôpital militaire de Nouakchott où il a été évacué.
Bien que l’esclavage ait été officiellement aboli en 1981 par l’Etat mauritanien, et érigé en infraction en 2007, puis en crime contre l’humanité en 2012, l’esclavage dit » traditionnel » et la discrimination à l’égard de la caste des Haratines de Mauritanie sont encore monnaie courante.
“J’ai été frappée, torturée, humiliée”, raconte Habi Mutraba en éclatant dans la prestigieuse revue Courrier International. “J’étais toujours la première levée et la dernière couchée”, poursuit cette femme sans visages, qui apporte une contradiction humaine à la thèse selon laquelle l’esclavage n’existerait plus dans ce pays de 4 millions d’habitants situé entre le Maroc et le Sénégal.
