La décision de traduire l’arabe dans les langues nationales sans le français au sein de l’assemblée nationale ouvre le débat sur la place de cette grande langue de communication en Mauritanie. L’histoire retiendra que le français est un acquis pour la Mauritanie.
Son usage dans l’enseignement et dans l’administration est une réalité depuis l’indépendance en 60 mais depuis la mise en place d’une politique d’arabisation à outrance la langue de Molière est en perte de vitesse dans Lire la suite →