Série de rencontres, et de portraits de métis mauritaniens. Certains aussi, douloureusement confrontés à l’intolérance récente qui touche la Mauritanie, et pourtant inhabituelle de l’histoire du brassage inter-communautaire qui jalonne les rencontres des cultures dans le Sahel, et en Mauritanie en Particulier.Pourtant, l’histoire récente (pré-indépendance) et même antérieure à la colonisation française, est jalonnée de relations inter-ethniques métissées. Continuer la lecture →Archives de l’auteur : Mohamed CIRE
Portrait d’Abdallahi Matalla Saleck, un des 13 détenus d’IRA : «un homme avenant et jovial »
Kemi Seba lance un appel au boycott du poisson mauritanien en solidarité avec les prisonniers anti-esclavagistes
L’oligarchie militaire veut soustraire les mauritaniens de leurs vraies priorités pour se maintenir au pouvoir (Biram)
En tournée, au Burkina-Faso, le prix des Nations-Unies pour les droits de l’Homme en 2013 a indexé sur la RTBF (Télévision Publique) cette oligarchie militaire qui veut soustraire les mauritaniens de leurs vraies priorités en créant des divisions entre les populations mauritaniennes sur lesquels elle prospère pour continuer à usurper l’aspiration démocratique du peuple mauritanien.
Biram Dah Abeid: «Les autorités mauritaniennes ne luttent pas contre l’esclavage, elles luttent contre les antis esclavagistes»
Le cheikh mauritanien Mohammed Ould Dedew explique comment battre sa femme dans l’islam : Trois coups avec la main sur le dos

Au septième chapitre de son émission de consultation religieuse à l’occasion du Ramadan, l’animateur pose à l’érudit mauritanien Cheikh Mohammed Ould Dedew la question de savoir si un mari peut « discipliner » sa femme par des coups. Cheikh Dedew répond par l’affirmative, expliquant comment et quand un homme peut battre sa femme et ses enfants. Selon lui, les coups devraient être le dernier recours et ne pas porter sur le visage ni être administrés dans un accès de colère. Et d’expliquer que l’homme doit battre sa femme avec la main trois fois sur le dos et ne pas recourir au fouet. Le chapitre consacré à la question du mariage a été mis en ligne sur la chaîne YouTube de Cheikh Dedew le 24 juin 2016.
القبيلة والدولة في موريتانيا
بقلم : عبدالله الزين
القبيلة كفكرة واقعية والدولة كواقع مجسد في موريتانيا:

Grâce à son abnégation et à sa persévérance, la section IRA de Sebkha citée plusieurs fois en exemple, est l’une des plus dynamiques du mouvement abolitionniste. Son président Abdallahi Matalla Saleck ne se donne pas un temps de répit.
Le turbulent activiste panafricaniste et chroniqueur géopolitique Kemi Seba, très engagé dans la lutte contre l’esclavage des haratines , lance, accompagné de l’ONG Urgences Panafricanistes et l’IRA, un appel au boycott du poisson mauritanien.
Figure emblématique de la lutte contre l’esclavage dans son pays, le Mauritanien Biram Dah Abeid est le fondateur de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (IRA), non reconnue par les autorités de son pays.

Les plus grands dossiers d’esclavage qui ont défrayé la chronique ces dernières années : Affaire Oumoul Khaïry –Atar 2013
Le groupe mauritanien de hip hop en exil, Ewlade Leblade, vient de produire un nouveau clip intitulé « La bande », s’inscrivant dans le cadre de ses sorties artistiques, hostiles au pouvoir du Président Mohamed Ould Abdel Aziz.
Comment la question de la laïcité est devenue centrale dans le débat national ? Déjà que nous pouvons suspecter qu’elle le soit en France où cette notion est née. Pour résumer et simplifier, il faut rappeler que l’Eglise a longtemps dominé la vie publique, toute la vie publique. L’Etat moderne a dû s’émanciper de cette mainmise pour asseoir la citoyenneté et l’égalité.