SOS Harratines de Mauritanie est à la fois un cri d’alarme et un appel de détresse adressés à l’Union Européenne et aux Etats Unis que je viens saisir à travers le présent mémorandum qui retrace la problématique harratine de Mauritanie.
En effet, les harratines ont subi des calvaires et des injustices historiques sévères qu’ils continuent encore à en subir dans ce pays qui reste l’un des derniers bastions de l’esclavage de ce monde libre.

Notre président fondateur de la médiocrité, initiateur et patron du génocide biométrique, l’unique propriétaire de nos terres, de nos oasis, de nos fleuves, de nos mers et autres ressources naturelles vendues et gérer à sa guise.
Le journaliste sénégalais Mamadou Sy Tounkara a accusé son pays de défendre la Mauritanie sur la question de l’esclavage ajoutant qu’il a préféré lui défendre les esclaves.
IRA – Mauritanie tient à préciser, à la demande des intéressés, que Messieurs Mohamed Baba Said et Ahmed Amou Moustapha ne font partie ni du bureau provisoire ni du cabinet du président mis en place ce dimanche 29 janvier 2017 et seront remplacés incessamment.
Selon le bureau de l’UNICEF en Mauritanie, 54 enfants de moins de 5 ans sur 1000 décèdent chaque année dans le pays. Une récente étude menée par l’organisation des nations unies sur la situation des enfants en Mauritanie, révèle que 27% seulement des enfants en âge de scolarisation vont à l’école, 28% sont victimes de nanisme et 43 enfants sur 1000 meurent avant d’atteindre l’âge d’un an.
Le président du mouvement abolitionniste IRA, Biram O. Dah O. Abeid, a rencontré le président de l’institution de l’opposition démocratique, El Hacen O. Mohamed.
Beaucoup estiment que le caractère alarmiste des propos du ministre des affaires étrangères mauritanien a été volontairement choisi et dicté par Mohamed Ould Abdelaziz. C’est presque une mise en garde et une menace adressées à Dakar, Nouakchott insinuant que Dakar outrepasse les termes de l’accord.
Vendredi 20 janvier 2017, dans l’émission « Le Grand Rendez-vous », diffusée sur la chaîne de télévision 2STV, l’un des intervenants a tenu des propos diffamatoires, violents, séditieux, encourageant la lutte armée des noirs en Mauritanie, contre le Gouvernement et le peuple frère de Mauritanie.
Diplomate chevronné, il a été plusieurs fois ministre, d’abord sous le régime civil de Mokhtar Ould Daddah, puis il fera son entrée dans le gouvernement issu du coup d’Etat du 10 juillet 1978, comme ministre des Affaires étrangères.