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Depuis quelques jours, le site Al Akhbar a publié des informations très étayées faisant état de la dilapidation de plus d’une centaine de millions des comptes de Radio Mauritanie. Les rapports de l’inspection générale auraient constaté des cas de mauvaise gestion dont le directeur général de cette importante institution, Abdallahi Ould Hormotallah serait responsable.
Les inspecteurs généraux d’état auraient constaté aussi que le DG de Radio Mauritanie donnait à tort et à travers et dépensait sans compter et sans respecter les fondamentaux de la gestion de la chose publique. Lire la suite
« La France ne fait pas de diplomatie publique » sur la situation des Droits de l’homme en Mauritanie. « Ce rôle est porté par l’Union européenne », a déclaré Raphaël Malara (Voir photo), le représentant de l’Ambassade de France au lancement de la 5e édition du Concours international de plaidoiries pour les droits de l’homme de Mauritanie. Lire la suite
7 December, 2017 – 02:13
Dans l’inconscient collectif, quand on évoque les noms de Bilal, Ammar, Salem…, la première chose qui vient à l’esprit, est qu’il s’agit de gens du petit peuple mecquois qui ont été sauvagement torturés par les mécréants Koraïches pour avoir embrassé l’Islam. De pauvres esclaves démunis, sans soutien tribal ou clanique, auxquels on a fait subir les châtiments les plus cruels pour les forcer à renier leur foi dans le message de l’Islam.
Rarement, on mesure à sa juste valeur le rang éminemment élevé et l’aura que leur a conféré, en pionniers, leur adhésion bénie au message divin de Mohammed. Lire la suite
Le 2 décembre, devant la presse, dans la ville de Tichit aux confins du désert, le Président mauritanien s’en prenait aux activistes de la lutte contre l’esclavage et ses séquelles, non sans désigner ma modeste personne ; d’après lui, nous serions des affabulateurs, en mal de salaire, donc mus par la seule motivation du ventre. Lire la suite
Pour autant qu’ils retrouvent la liberté, les anciens esclaves sont confrontés à l’épineux problème de l’état-civil qui vient aggraver un implacable constat : liberté ne signifie pas, systématiquement, accession à la dignité.
Peu ou prou éduqués, ne possédant rien ou très peu, ils se retrouvent, en effet, dans le dénuement le plus total, luttent pour survivre et restent difficilement identifiables, faute d’enregistrement à l’état-civil.
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